Cest ainsi que j’ai constituĂ© ce recueil de textes dont certains ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© chantĂ©s, de nombreux autres jamais. À travers ce site, chacun d’entre eux pourra peut-ĂȘtre vivre ou revivre au son d’une mĂ©lodie qui lui collera aux mots. À qui le voudra, donc, de cueillir les fruits qu’il saura dĂ©nicher parmi ces “paroles CodyCrossSolution pour RECUEIL DE TEXTES OU DE MORCEAUX DE MUSIQUE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres mots utiles. Musique Artistes : Collectif - Musique. 5,99 € – 17,90 €. Installez-vous, la reprĂ©sentation va commencer ! Les neuf compositeur‧rice‧s que vous venez Ă©couter vous proposent chacun‧e leur courant artistique : au programme, des mĂ©lodies qui se Sens1. Recueil de morceaux choisis d' oeuvres littĂ©raires ou musicales . Exemple : Ces trois chansons font partie de son anthologie. Synonyme : recueil, florilĂšge, extraits. Étymologie : du grec ancien anthologia qui dĂ©signe la cueillette des fleurs. Traduction en anglais : anthology. Recueilde textes ou de morceaux de musique Solution est: F L O R I L E G E « PrĂ©cĂ©dent Tout Grille 4 Solution Suivant » Sur CodyCross CodyCross est un cĂ©lĂšbre jeu nouvellement publiĂ© Poseune Question RĂ©pondre Recueil De Textes Ou De Morceaux De Musique - CodyCross La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 9 lettres et commence par la lettre F CodyCross Solution pour RECUEIL DE TEXTES OU DE MORCEAUX DE MUSIQUE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. k7eU. La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 10 lettres et commence par la lettre A Les solutions ✅ pour RECUEIL DE BONS MORCEAUX de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "RECUEIL DE BONS MORCEAUX" 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires , s nm 1 recueil, cahier, spicilĂšge, collection 2 enregistrement, Cd-rom, presse-papiers album amicorum nm albums d'autographes album d'image nm livre d'image album-souvenir nm keepsake papaver somniferum album nm pavot oeillette, pavot somnifĂšre santalum album nm santal blanc Dictionnaire Français Synonyme Dictionnaire Collaboratif Français Synonymes mĂ©talleux, euse n. adj. adepte de musique heavy metal [Fam.];[Mus.] boys band nm. groupe de musique de variĂ©tĂ©s composĂ© uniquement d'hommes [Angl.];[Mus.] girls band nm. groupe de musique de variĂ©tĂ©s composĂ© uniquement de femmes [Angl.];[Mus.] il n'y a pas d'Ă©quivalent français tube n. un tube est un terme familier qui dĂ©signe, principalement dans le domaine de la musique populaire, une chanson ou un morceau de musique ayant obtenu un grand succĂšs [Mus.] musette nm. musique de danse jouĂ©e aux bals musette dont l’accordĂ©on est le vĂ©ritable moteur. Style de musique typiquement français, nĂ© Ă  Paris au dĂ©but du 20e siĂšcle. [Mus.] On joue des valses musette, des tangos musette, des pasos musette et des javas musette. La valse est la danse emblĂ©matique du genre musette. Attention! Jouer DU musette. ! setar n. instrument de musique iranien dont le nom signifie trois cordes » en persan. C'est un membre de la famille des luths Ă  manche long. duduk nm. instrument de musique Ă  anche armĂ©nien, proche du hautbois [Mus.] on Ă©crit aussi "doudouk" blanche nf. note de musique durant 2 temps et qui vaut la moitiĂ© de la ronde, ou deux noires, ou quatre croches [Mus.] ! orgue nm n. instrument de musique Ă  vent et Ă  tuyaux, Ă  claviers et pĂ©dales ! troussage n. RĂ©diger, composer avec aisance ou promptitude un texte, une piĂšce de musique ! xylophone nm n. instrument de musique composĂ© de lamelles de bois ou de mĂ©tal sur lesquelles on frappe avec deux baguettes viol ou viole ? n. Attention Ă  ne pas confondre ces homophones. "Viol" dĂ©signe un acte sexuel ou un acte de transgression ; "viole" dĂ©signe un instrument de musique. solo n. morceau de musique jouĂ© ou chantĂ© par un seul artiste remix n. version modifiĂ©e d'un morceau de musique, parfois avec la suppression des paroles [Mus.] cobza nm. instrument de musique Ă  cordes de Roumanie. Il s'agit d'une version locale du oud apportĂ© par les Ottomans. S'Ă©crit aussi cobsa, kobuza, kobuz ou coboz. rababa nf. instrument de musique Ă©gyptien composĂ© d'un long manche avec une, deux ou trois cordes frottĂ©es doudouk nm. instrument de musique Ă  anche armĂ©nien, proche du hautbois [Mus.] on Ă©crit aussi "duduk" ! accident n. altĂ©ration accidentelle qui intervient dans le courant d'un morceau de musique ! tambour nm n. instrument de musique formĂ© d'une caisse cylindre que l'on frappe avec des baguettes note blanche n. 1 rapport non signĂ© 2. note de musique durant 2 temps 3. note de couleur blanche ADMINISTRATION rapport non signĂ© souvent de services de renseignement ... Pour ajouter des entrĂ©es Ă  votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communautĂ© Reverso. C’est simple et rapide Plan Texte Notes Citation Auteur Texte intĂ©gral N’no, Roda & Aterianus-Owanga Alice. — Akamayong-Nkemeyong. Recueil de textes de rap en langue fang nzaman. Paris, L’Harmattan, 2012, 131 p., bibl. 1Les deux auteurs de ce livre, Roda N’no et Alice Aterianus-Owanga, nous offrent une rĂ©flexion intĂ©ressante sur un objet trĂšs peu prĂ©sent dans les sciences sociales en Afrique subsaharienne la musique via le rap, apparu Ă  la fin des annĂ©es 1970 Ă  New York et rĂ©pandu de façon intense sur le globe Ă  partir des canaux de communications liĂ©s au contexte de la globalisation. Que ce soit en Afrique ou en Europe, par exemple, il est difficile aujourd’hui d’échapper au rap. C’est un objet culturel transnational qui, dans chacun des pays dans lequel il s’exprime, reformule sans cesse son hybriditĂ© intrinsĂšque, il en rĂ©sulte des formes d’adaptation assez diversifiĂ©es. 27 Une thĂšse sur les pratiques musicales en contexte de mondialisation et sur les processus identitair ... 28 Les nouvelles Ă©critures de soi, Institut Gabonais de l’Image et du Son, 52 mn., DV cam, 2010 et Une ... 2Roda N’no est un rappeur gabonais, rĂ©putĂ© pour ses textes en langue fang nzaman tandis qu’Alice Aterianus-Owanga est docteure en anthropologie27 Ă  l’UniversitĂ© Lyon II, Ă©galement rĂ©alisatrice de films documentaires28 et auteure de nombreuses publications sur le rap gabonais. Cet ouvrage est aussi une belle illustration d’un texte dialogique et le rĂ©sultat d’une relation ethnographique entre d’une part une anthropologue dont l’objectif est de rĂ©aliser des entretiens et d’observer la pratique d’un genre musical et, d’autre part, un rappeur qui y dĂ©couvre une utilitĂ© pour sa visibilitĂ© et une plus grande notoriĂ©tĂ© de son activitĂ© musicale. 3Dans cette collaboration, chacun joue sa partition. Le rappeur met Ă  la disposition de l’anthropologue l’ensemble de ses textes en langue maternelle fang nzaman. La transcription orthographique en français de ce corpus a Ă©tĂ© faite par l’anthropologue en utilisant les rĂšgles de l’alphabet scientifique des langues du Gabon de Jean Marie Hombert 1990 et Ă  l’aide du dictionnaire fang nzaman du missionnaire franco-suisse de la Mission protestante de Paris Samuel Galley 1964 qui a longtemps sĂ©journĂ© dans la rĂ©gion natale du rappeur OgoouĂ©-Ivindo. L’interprĂ©tation des textes a Ă©tĂ© rendue possible aprĂšs de longues et multiples sĂ©ances de travail entre les deux auteurs. 29 Laurent, Les pentecĂŽtistes du Burkina Faso, pouvoir et guĂ©rison, Paris, Karthala, 2003. 4Akamayong-Nkemeyong est aussi le titre de l’album de Roda N’no. Ce titre polysĂ©mique traduit ici une dĂ©marche identitaire de l’artiste qui oscille entre le local et le global ; entre le repli sur ses valeurs socio-culturelles nĂ©groafricaines » ou fang, et une ouverture Ă  la modernitĂ© insĂ©curisĂ©e » Laurent 200329. À l’échelon national, c’est une interaction entre les valeurs rurales et l’ouverture Ă  la vie urbaine. L’association des deux termes Akamayong » celui qui dĂ©fend son ethnie » et Nkemeyong » celui qui s’ouvre aux autres et fait partager ses valeurs culturelles », devient alors un compromis entre la recherche de ses origines et l’acceptation de l’autre. C’est aussi une pratique musicale qui rĂ©invente les patrimoines gabonais » dans une rencontre avec les autres influences musicales. Finalement, c’est le rĂ©sultat d’une rencontre culturelle qui produit des identitĂ©s mĂ©tisses et hybrides sous toutes leurs formes. 5La structuration du livre repose sur une architecture constituĂ©e d’une importante partie de prĂšs de soixante pages prĂ©cĂ©dĂ©e d’une introduction de l’anthropologue qui rappelle justement le contexte de collaboration avec le rappeur et de production de l’ouvrage. Cette partie centrale est constituĂ©e d’un rĂ©pertoire de dix-neuf textes ou chants en fang nzaman accompagnĂ©s d’une traduction en français. Un autre chapitre dit final » d’Alice Aterianus-Owanga et une postface du sociologue et anthropologue gabonais Joseph Tonda constituent les derniĂšres parties de ce livre. Les titres ou chants sont prĂ©cĂ©dĂ©s d’une prĂ©sentation sommaire qui dĂ©crit les conditions socio-culturelles d’inspiration et d’écriture du texte par le rappeur. Ceci permet au lecteur de comprendre le sens du chant et surtout le message vĂ©hiculĂ© par l’artiste. Toutefois, on peut regretter l’absence de ces commentaires introductifs sur de nombreux titres Ă  savoir Satan », Nzam’a ta », EdzĂŽba », Ôson », Me si wu », Beyem », Rap a n’akeng », etc. 6L’analyse de l’anthropologue intervient au deuxiĂšme chapitre final ». Celle-ci s’arc-boute sur la combinaison d’une approche biographique du rappeur pour apprĂ©hender les dynamiques du social et la porositĂ© des catĂ©gories qui le composent et une analyse de contenu des diffĂ©rents textes proposĂ©s dans le livre. L’auteure parvient ainsi Ă  surmonter une difficultĂ© inhĂ©rente Ă  une Ă©criture Ă  deux voix. Le rappeur livre sa conception de sa sociĂ©tĂ© et du monde Ă  travers ses textes et des explications qu’il donne Ă  l’anthropologue. Cette derniĂšre ne se contente pas de restituer ces idĂ©es mais tente de les comprendre avec une grille de lecture qui impose une rupture Ă©pistĂ©mologique. Cependant, la difficultĂ© est que le lecteur issu de cette communautĂ© linguistique du rappeur ou celui qui parle et comprend cette langue peut s’intĂ©resser uniquement Ă  la version originale des textes de l’auteur dĂ©nuĂ©e de tout commentaire et analyse. Le risque est donc de ne point Ă©pouser ou d’adhĂ©rer aux commentaires et aux thĂ©matiques discutĂ©es par l’anthropologue. Pourtant il convient de souligner que les thĂ©matiques dĂ©veloppĂ©es et les analyses effectuĂ©es tĂ©moignent d’une bonne connaissance du terrain gabonais, prĂ©cisĂ©ment du milieu hip-hop. En effet, en s’appuyant sur les textes du rappeur, l’anthropologue fait la dĂ©monstration que la sorcellerie qui fait partie de la vie quotidienne des populations d’Afrique subsaharienne est un paradigme pertinent permettant de saisir cette situation de crise sociale, politique et culturelle aiguĂ« que traversent certains pays de l’Afrique centrale. Historiquement, c’est dans ces conditions d’omniprĂ©sence de la sorcellerie qui, pour reprendre Roda N’no, a minĂ© » tous les domaines de la sociĂ©tĂ©, que le rap apparaĂźt Ă  Libreville Ă  la fin des annĂ©es 1980 dans un contexte de crise politique et de revendication dĂ©mocratique prĂ©cĂ©dant l’instauration du multipartisme en 1991. 30 M. Auzanneau, IdentitĂ©s africaines le rap comme lien d’expression », Cahiers d’Études africaine ... 7Alice Aterianus-Owanga montre, Ă  la suite des travaux de la sociolinguiste Michelle Auzanneau 200130 que les textes de la premiĂšre gĂ©nĂ©ration des rappeurs gabonais se sont focalisĂ©s sur la dĂ©nonciation des modes de gouvernance autocratiques, du systĂšme nĂ©olibĂ©ral marquĂ© par la prĂ©sence des militaires français Ă  Libreville ou des conditions de vie prĂ©caires des Gabonais » p. 84. Progressivement, les rappeurs vont s’intĂ©resser Ă  d’autres aspects de la vie Ă  Libreville les relations de genre, les ambiances festives nocturnes, la vie urbaine, l’organisation du rap et la sorcellerie qui constitue une thĂ©matique Ă  part entiĂšre des textes de nombreux rappeurs. Par exemple, plus de la moitiĂ© de l’Ɠuvre de Roda N’no prĂ©sentĂ©e dans ce recueil traite du mystique, de la sorcellerie et de l’invisible. Ce qui laisse dire Ă  Alice Aterianus-Owanga que le mouvement rap est partie prenante d’un systĂšme de reprĂ©sentations symboliques et de relations sociales marquĂ© par l’imaginaire sorcier. En prenant en compte le parcours du rappeur, ses Ă©changes musicaux sur le plan national et transnational, ce livre dĂ©crit avec beaucoup de finesse les fonctions de certains morceaux rap sur le vĂ©cu social, familial et religieux de l’artiste. Il met aussi en Ă©vidence la maniĂšre dont la pratique musicale contribue aux mĂ©tamorphoses » de l’univers sorcier et de ses logiques sociales en rĂ©sonance avec les influences de l’expĂ©rience religieuse initiatique p. 83. 8Finalement, autant ce livre Ă©claire la maniĂšre dont le rap est un instrument de liaison ou de redĂ©finition des frontiĂšres entre diffĂ©rentes catĂ©gories de la vie sociale et symbolique entre la province et la capitale, entre les aĂźnĂ©s et les cadets sociaux, entre l’univers du jour et des humains et celui de la nuit et des sorciers » p. 83, autant cet ouvrage prĂ©cieux, remarquable par la quantitĂ© d’informations sur le rap, la sociĂ©tĂ© gabonaise en mutation et par la rigueur du travail d’analyse textuelle, enrichit considĂ©rablement notre connaissance sur le mouvement hip-pop au Gabon. Il livre une contribution importante sur les enjeux de la musique rap au Gabon. 9On aurait simplement souhaitĂ© que ce livre intĂ©ressant s’accompagne d’un support audio ou visuel cd-rom ou dvd pour permettre aux lecteurs de passer du texte Ă©crit Ă  la performance vocale. Haut de page Notes 27 Une thĂšse sur les pratiques musicales en contexte de mondialisation et sur les processus identitaires dĂ©veloppĂ©s autour de l’implantation du rap au Gabon, Alice Aterianus-Owanga, Pratiques musicales, pouvoir et catĂ©gories identitaires. Anthropologie du rap gaboma, Lyon, UniversitĂ© de Lyon II, 2013. 28 Les nouvelles Ă©critures de soi, Institut Gabonais de l’Image et du Son, 52 mn., DV cam, 2010 et Une vie en Black or White, Institut Gabonais de l’Image et du Son, 52 mn., NumĂ©rique, 2013. 29 Laurent, Les pentecĂŽtistes du Burkina Faso, pouvoir et guĂ©rison, Paris, Karthala, 2003. 30 M. Auzanneau, IdentitĂ©s africaines le rap comme lien d’expression », Cahiers d’Études africaines, 163-164, 2001, pp. de page Pour citer cet article RĂ©fĂ©rence Ă©lectronique Maixant Mebiame Zomo, Akamayong-Nkemeyong. Recueil de textes de rap en langue fang nzaman. », Cahiers d’études africaines [En ligne], 216 2014, mis en ligne le 21 janvier 2017, consultĂ© le 29 aoĂ»t 2022. URL ; DOI Haut de page Droits d'auteur © Cahiers d’Études africainesHaut de page charlygpNiveau 9Bonjour,J'aimerais constituer une petite anthologie Ă  l'usage des collĂ©giens. Selon vous, quels sont les textes que nos Ă©lĂšves devraient absolument connaĂźtre ? Je pense avant tout aux classiques. Parmi ces textes, certains pourraient ĂȘtre appris par cƓur. Quels sont, selon vous, les textes ou extraits qu'un collĂ©gien devrait connaĂźtre ?6e- le dĂ©but de la GenĂšse5e- "Heureux qui, comme Ulysse, a fait un bon voyage...", Du Bellay4e- "Ce fut comme une apparition...", L'Education sentimentale, La mort de Gavroche, Les MisĂ©rables, Victor Hugo3eDerniĂšre Ă©dition par charlygp le Sam 19 Nov 2016 - 1819, Ă©ditĂ© 2 foisNadejdaGrand sagecavatineNiveau 73e "Strophes pour se souvenir" l'affiche rouge, Le Roman InachevĂ©, Aragon L'extrait de la madeleine, ou l'angoisse du coucher sans "maman", Du cĂŽtĂ© de chez Swann, Proust4e "Roman", Rimbaud "Mon rĂȘve familier", Verlaine 5e Du MoliĂšre Les Fourberies de Scapin un extrait de la scĂšne 7 de l'acte II, "que diable allait-il faire dans cette galĂšre ?" / L'Avare monologue de Harpagon, IV, 76e Un extrait de l'OdyssĂ©e, peut-ĂȘtre l'Ă©pisode avec PolyphĂšme... Une fable de la Fontaine... "La Grenouille qui se veut faire aussi grosse que le Boeuf", ou "Le Lion et le Rat" peut-ĂȘtre ? 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J’ai captĂ© sur la page d’un ami facebook », accessoirement frĂšre de la GLNF, cette annonce que je vous livre telle qu’elle la Province de Paris comprendre les loges de la rĂ©gion parisienne sous l’initiative du Grand MaĂźtre Provincial souhaite fonder une chorale pour animer les colonnes d’harmonie lors d’évĂ©nements sĂ»r, mon esprit alerte et mon immense culture musicale m’ont conduite Ă  faire une rĂ©fĂ©rence aux PrĂȘtres », ce groupe de trois prĂȘtres ah ! qu’oserions nous dire sur la symbolique des nombres ? que nous connaissons toutes et tous pour avoir vu une publicitĂ© et/ou un extrait de leurs Ɠuvres chose est pourtant sĂ©rieuse ce sera un chef de chƓur professionnel qui dirigera cette future chorale de vous mettre de suite dans l’ambiance, voici une chanson complĂšte de nos prĂȘtres – qui selon moi est presque du massacre 
 Au secours ! Vous croyez que je me moque de nos frĂšres de la GLNF, je vais finir par m’y perdre. Bien sĂ»r que non, c’est l’occasion de sauter sur LE vrai sujet maçonnique de cette dĂ©cennie la colonne d’harmonie et son importance, que je dirais capitale, en tenue et qui remonte Ă  la prĂ©histoire de notre nous est parvenu du fond des Ăąges un recueil de Charles-Emmanuel de Vignoles, intitulĂ© " La lire maçonne, ou Recueil de chansons des francs-maçons , revu, corrigĂ©, mis dans un nouvel ordre et augmentĂ© de quantitĂ© de chansons qui n'avoient point encore paru, par les frĂšres de Vignoles et Du Bois, avec les airs notĂ©s, mis sur la bonne clef, tant pour le chant que pour le violon et la flute." Le titre donne Ă©dition est, en fait, la seconde et date de 1766. Bien que de langues françaises, il est dĂ©diĂ© aux Pays-Bas et comprends plusieurs chansons en hollandais traduites. Ce recueil, mĂȘme si anciens pour nous, n’est pas le premier dans son genre. nous indique l’éditeur dans son mot aprĂšs les deux introductions de l'auteur.AprĂšs quelques recherches ardues, Comus est une divinitĂ© mineure latine, de la joie et de la bonne chĂšre. Il est une divinitĂ© patronnant tous les festins et autres banquets, ainsi ce que l’on pourrait appeler pudiquement les dĂ©bordements du libertinage ». Il est proche du SilĂšne grec, citĂ© aussi dans cette prĂ©sentation, divinitĂ© de l’ le croire, les recueils prĂ©cĂ©dents Ă©taient bien plus drĂŽles que celui qu’il vendait Ă  ses contemporains, mĂȘme si certains chants furent prĂ©servĂ©s de sa prohibition moralisatrice. Cette Ă©dition fut augmentĂ©e de 500 couplets qui ne furent jamais imprimĂ©s et surtout d’airs nouveaux d’opĂ©ra, Ă  la mode de l’époque. Oui, il fallait suivre la mode musicale 
 ce qui n’est plus le cas trois fois hĂ©las ! de nos y trouve des chansons appelĂ©es d’unions » qui sont des chansons dont le thĂšme est l’amitiĂ© virile, la joie d’ĂȘtre ensemble et le partage d’une bonne bouteille ouf!. Ce qui dans le fond une tradition qui est toujours respectĂ©e. Les chansons suivantes sont destinĂ©es aux apprentis, aux compagnons il est Ă  souligner que les annĂ©es 1760 Ă©taient des annĂ©es charniĂšres oĂč l’on trouvait des systĂšmes Ă  deux degrĂ©s qu’à trois degrĂ©s et aux maĂźtres. Plusieurs textes sont des hymnes Ă  la gloire des francs-maçons et de la franc-maçonnerie, vantant leurs diffĂ©rents mĂ©rites et vertus. On trouve des textes plus touchants sur le dĂ©part d’un frĂšre ou Ă  l’intention d’un on comprend assez rapidement que le frĂšre De Vignoles ne frĂ©quentait pas une des loges mixtes existantes Ă  l’époque, il y a cependant quelques rĂ©fĂ©rences aux femmes. Dans cette chanson, par exemple, intitulĂ©e la vĂ©ritable humanitĂ© ».La partie suivante est destinĂ©e aux Ă©vĂ©nements spĂ©ciaux de la vie d’une loge. Ainsi se trouve des chansons remerciant des vĂ©nĂ©rables mais aussi des officiers de Grande Loge. Gloire d’un maĂźtre de loge, pour les visites du Grand MaĂźtre en loge, pour les anniversaires de loge, tous les Ă©vĂ©nements ou presque sont bonheur, Ă©galitĂ© et je ne compte plus les textes sur l’amitiĂ©, la fĂ©licitĂ© ou encore les prĂ©ceptes et autres arts, Ɠuvres expliquĂ©s aux nouveaux venus ». Les thĂšmes sont joyeux, certes un peu grandiloquents 
 Nous sommes en 1766, il faut penser qu’ils ne savaient rien faire sans emphase ! Les textes sont un chouia puĂ©ril et dĂ©suet, mais juste un qu’il faut retenir est que cette franc-maçonnerie Ă©tait joyeuse, que la quĂȘte du maçon de l’époque Ă©tait le bonheur et l’amitiĂ© 
 Ceci pourrait donner un rĂŽle bien particulier Ă  nos colonnes d’harmonie, puisque nous ne disposons pas d’une chorale. En effet, ne peut-elle pas apporter cette Ă©tincelle et cette joie de vivre, que l’on trouve dans ce recueil ?Si la future chorale de la GLNF souhaite des chansons maçonnes, je le lui en ai tout plein trouvĂ© ! Vous voyez, je ne me moquais pas.

recueil de textes ou de morceau de musique