LEgypte au temps de Moïse: L'invasion des étrangers nomades : Keftiou, Hébreux, Philistins, etc. - L'Exode - Le retour en scÚne des pharaons égyptiens von Vandersleyen, Claude bei ISBN 10: 2343087709 - ISBN 13: 9782343087702 - Editions L'Harmattan - 2016 - Softcover
Lamédecine au temps des Hébreux. Au carrefour des principales voies de communication de l'Antiquité unissant l'Afrique à l'Asie et l'Asie à la GrÚce, les Hébreux rassemblaient et mobilisaient toute une série de connaissances sur le plan médical.
Afinde circonvenir les parents des victimes, les enfants furent emmenĂ©s en « voyage scolaire », et on dira plus tard aux parents que les rayons X Ă©taient un traitement contre une Ă©pidĂ©mie de teigne. 6 000 des enfants cobayes dĂ©cĂ©dĂšrent peu aprĂšs leur irradiation, beaucoup des survivants dĂ©veloppant des cancers qui emportĂšrent des milliers dâentre
AprÚsles récentes accusations du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, le président libanais, Michel Aoun, prévient que le pays fera face à toute nouvelle agression israélienne
En1142 il subjuguĂąt les campagnes du Maghreb en se rendant maĂźtre du pays des Ghomaras, du Rif, des territoires de Butwiya, des Bettalsa, des Beni Iznessen dans le Maghreb extrĂȘme et des Mediouna, des Koumiya et des Ulhassa au Maghreb central. Les Ulhasa voisins des Koumiya et presque leurs Ă©gaux en puissance embrassĂšrent la cause
AprÚsLa médecine au temps des Pharaons, Bruno Halioua nous fait découvrir un nouveau pan de la pratique médicale dans l'Antiquité : la médecine au temp Tous les livres depuis 1997
8zIu1. Dans le monde de la perversitĂ© Ă vomirLa bande Ă Rotschild et Rockefeller Les ancĂȘtres des juifs » ashkĂ©nazes sont les descendants dâasiatiques belliqueux des steppes, chassĂ©s par les tribus concurrentes. Ils ont colonisĂ© une Ă©norme zone gĂ©ographique situĂ©e entre la mer Caspienne et la mer Noire, qui constitua le premier grand empire du moyen-Ăąge. Ils se convertirent massivement au talmudisme sous lâimpulsion du roi dâ chercheurs comme Benjamin Freedman et Arthur Koestler se sont spĂ©cialisĂ©s sur cette question que certains prĂ©fĂšreraient garder secrĂšte. Shlomo Sand lui aussi lâĂ©voque dans Comment le peuple juif fut inventĂ© ». Le problĂšme rĂ©side en ceci les sionistes sont principalement ashkĂ©nazes ; sâil est dĂ©montrĂ© quâils nâont aucun lien avec le sĂ©mitisme, ils nâont dĂšs lors plus aucune lĂ©gitimitĂ© Ă revendiquer la Khazars, des juifs⊠pas juifsLes ancĂȘtres des Juifs actuels nâont jamais vĂ©cu en Palestine et ils ne sont donc pas sĂ©mites⊠Extrait dâune confĂ©rence de Johann Khazars ancĂȘtres des IsraĂ©liensProfesseur Abraham N. Poliak, titulaire de la chaire dâhistoire Ă lâuniversitĂ© de Tel-Aviv, a prĂ©sentĂ© sa thĂšse intitulĂ©e La conversion des Khazars au judaĂŻsme, qui fut accueillie avec beaucoup dâhostilitĂ© par la communautĂ© ashkĂ©naze. Son essai dĂ©molissant la tradition sacrĂ©e » faisant remonter tous les juifs modernes aux 12 tribus bibliques dâIsraĂ«l. 30 ans plus tard, son nom fut supprimĂ© de lâEncyclopedia JudaĂŻca pour lâĂ©dition 1971-1972, preuve de lâĂ©tendue de la polĂ©mique Ă ce sujet. Freedman dĂ©veloppa sa thĂšse dans une lettre ouverte adressĂ©e au Dr. David Goldstein en 1954 quâil fit amplement circuler. Pour Freedman, plus de 90% des juifs actuels descendent des Khazars, en tenant compte des mariages entre les communautĂ©s ashkĂ©nazes et sĂ©farades. Ses thĂšses seront reprises plus tard par Arthur sont les HĂ©breux ?Les HĂ©breux ne pas chaldĂ©ens mais ils vinrent en ChaldĂ©e comme Ă©trangers, et ont Ă©tĂ© traitĂ©s de la sorte, et chassĂ©s. Le pays dâorigine des HĂ©breux est dĂ©crit dans le premier livre de MoĂŻse comme Ă©tant la rĂ©gion entre Messa et Saphar, la montagne de lâest dâEbal, câest-Ă -dire la rĂ©gion de la pointe, le point le plus au sud de la pĂ©ninsule lâAncien Testament, on peut lire, comme nous venons de le dire, que Sem Ă©tait le fils de NoĂ©, ce qui est une erreur. Cela vient du fait que NĂ©hĂ©mie et Esdras ont pris les poĂšmes et les lĂ©gendes du vieux Babilus, les ont recopiĂ©s et les ont adaptĂ©s selon leurs intĂ©rĂȘts en les falsifiant. Ils ont fait pareil avec lâhistoire du roi Sargon, quâils ont pris comme modĂšle pour lâhistoire de MoĂŻse, dont la vĂ©ritable histoire est complĂštement diffĂ©rente. De plus, MoĂŻse a vĂ©cu plus de 1000 ans aprĂšs Sargon.Les HĂ©breux viennent donc en vĂ©ritĂ© de ce point gĂ©ographique, dont parle le premier livre de MoĂŻse 10-30, câest Ă dire de lâendroit le plus Ă©troit de la mer Rouge, tout au sud, au pied du mont Ebal. Une nouvelle tribu sâĂ©tait formĂ©e Ă partir de peuples diffĂ©rents. Le chef de cette nouvelle tribu sâappelait Abil Habr, chassĂ© de la tribu des SchabĂ©es. La tribu prit le nom de Habrites, qui devinrent plus tard les HĂ©breuxDâautres hommes chassĂ©s de leur tribu vinrent se joindre Ă cette nouvelle tribu, ainsi que des esclaves Ă©vadĂ©s. Peu Ă peu se forma un nouveau peuple. Ali Habr fit construire une forteresse, et partit Ă la conquĂȘte de lâĂźle de Bara Perim, qui appartenait au royaume dâĂgypte. LĂ , il fit alliance avec les tribus Ă©thiopiennes, les Amchars et les Kabyles. Ensemble ils conquirent le territoire des Maures jusquâau lac Ugan lâOuganda actuel. Il fonda un royaume et câest Ă cet endroit que ce peuple devint le peuple hĂ©breu. Le centre de ce pays porte le nom de Habr, dâaprĂšs Ali Ali Habr avait instituĂ© la polygamie, un peuple complĂštement nouveau Ă©mergea, constituĂ© de mĂ©langes de plusieurs types humains. Dans la force de lâĂąge, Ali Habr contracta une maladie sexuelle. Ă cette Ă©poque vivait un sorcier dans la tribu des Genites au pays de Sina SinaĂŻ. Il Ă©tait connu pour faire des miracles Ă travers des sacrifices humains quâil destinait Ă un dieu sauvage. Ali le fit venir Ă lui. Le sorcier introduisit le rite de la circoncision et le dieu, Jaho/YahvĂ©/El SchaddaĂŻ, chez les ce YahvĂ© qui apparut Ă Abraham, un descendant direct dâAli, avec ces mots Ani ha El SchaddaĂŻ = Je suis El SchaddaĂŻ. Il exigea de nombreux sacrifices humains, beaucoup de guerres et fit un pacte avec les HĂ©breux pacte de sang hĂ©breu. Ali Habr dĂ©veloppa ses conquĂȘtes et prĂ©para une guerre contre le pays de Habach, dont le roi Ă©tait de la famille du pharaon. Le roi appela les Ăgyptiens Ă lâaide. Le pharaon Sesostris Ier envoya une flotte et une armĂ©e, les HĂ©breux furent battus. Les soldats du pharaon prirent aussi la forteresse de Har Habr, triomphant de leur lâhistoire dâAli Habr !Tous les crimes des HĂ©breux se trouvent dans les livres de MoĂŻse Ă Esther celui-ci devrait sâappeler le livre de MordekhaĂŻ MardochĂ©e, dâaprĂšs le plus grand malfaiteur de lâĂcriture sainte, dont personne ne sait pourquoi elle sâappelle sainte alors quâelle devrait sâappeler lâhistoire criminelle des HĂ©breux. On peut y dĂ©nombrer plus de soixante-dix massacres et gĂ©nocides, sans compter les crimes, les pillages, les viols, lâinceste et autres atrocitĂ©s. Le pire est quâaucun de ces crimes nâest jamais puni. Au contraire, câest YahvĂ© qui ordonne ces mĂ©faits, et ils correspondent bien aux principes du Talmud. Le peuple juif sâidentifie malgrĂ© tout, Ă part quelques exceptions, sans honte, Ă cette loi et Ă son histoire il faut ajouter quâaujourdâhui 95 % des juifs ne sont pas des descendants dâHĂ©breux ou de SĂ©mites, mais sont un mĂ©lange de Huns et de Turcs. Ils ne viennent pas du Jourdain, mais de la Volga, pas de Canaan, mais du Caucase, et nâont pas de liens gĂ©nĂ©tiques avec Abraham, Isaac et Jacob, mais avec les Huns, les Uigoures et les Magyars. Comment est-ce possible ?VoilĂ , le peuple juif se compose de deux parties, les Sefardim et les Ashkenazim. Les Sefardim sont dâorigine hĂ©braĂŻque et ont vĂ©cu depuis lâAntiquitĂ© en Espagne en hĂ©breu, SĂ©farade, dâoĂč ils ont Ă©tĂ© chassĂ©s au 15Ăšme siĂšcle. Dans lâĂ©dition de 1960 de lâEncyclopedia JudaĂŻca on trouve ces faits En 1960 il y a 500. 000 juifs dâorigine hĂ©braĂŻque dans le monde. Les Ashkenazim ou juifs Khazars sont au nombre de 11 sont les Khazars ?Les Khazars sont un peuple dâorigine turque nord de la Turquie, dont la vie et lâhistoire sont trĂšs proches du dĂ©veloppement de lâhistoire juive en Russie. Venant de Turquie, ils Ă©taient des nomades des steppes, gui vivaient de rapines et de pillages. Au milieu du 6Ăšme siĂšcle ils sâĂ©tablirent au sud de la Russie, bien avant la monarchie des VarĂšgues. Le royaume khazar Ă©tait Ă son apogĂ©e et menait constamment la guerre. Il nây eut pas de moments pendant lesquels ils ne faisaient pas la guerre. Ils dominaient de grands territoires de la mer Noire Ă la mer Caspienne, et du Caucase Ă la Volga. Au 8Ăšme siĂšcle le Chagan, le roi des Khazars, se convertit au judaĂŻsme, ainsi que sa cour et une grande partie du peuple. La raison principale de leur acte Ă©tait due Ă leur position gĂ©ographique prĂ©caire entre lâempire romain dâOrient et les partisans victorieux de Mahomet. Les deux exigeaient des Khazars quâils se convertissent, les uns au Christianisme, les autres Ă lâIslam. Les Khazars choisirent le judaĂŻsme, refusant les deux autres. Au cours des deux siĂšcles qui suivirent, la plupart des Khazars se convertirent, et Ă la fin du 9Ăšme siĂšcle tous les Khazars Ă©taient de religion fut Obadiah, un successeur de Bulan sur le trĂŽne, qui renforça le royaume et affermit la religion juive. II invita des savants Ă sâĂ©tablir dans son royaume, fonda des synagogues et des Ă©coles. Le peuple fut introduit Ă la Bible et au Talmud Les Khazars utilisaient lâĂ©criture hĂ©braĂŻque. Mais leur langue restait la laissa le trĂŽne Ă son fils Ezekiah, celui-ci le laissa Ă son fils Manasseh, puis vinrent Hannukah, Isaac, MoĂŻse, Nisi, Aaron II, joseph, tous descendants directs dâObadiah. Les VarĂšgues de Russie, peuple dâorigine scandinave, sâĂ©taient Ă©tablis Ă Kiev, jusquâĂ la derniĂšre bataille contre les Khazars. Les Russes gagnĂšrent cette ultime bataille et 4 ans plus tard ils envahirent le royaume des Khazars, Ă lâest de lâAzov. Beaucoup de membres de la famille royale se rĂ©fugiĂšrent en Espagne, dâautres en Hongrie, mais la majoritĂ© resta dans leur pays. Jewish Encyclopedia, Volume IV, article on Khazars, page 1-5.Le meilleur historien en matiĂšre de juifs autoproclamĂ©s dâEurope de lâEst est le professeur H. Graetz, auteur du livre History of the jews. Il explique que les Khazars exerçaient une sorte de religion fanatique, un mĂ©lange de sensualitĂ© et dâinceste. AprĂšs Obadiah il y eut un grand nombre de rois khazars, et dâaprĂšs leur droit, il devait ĂȘtre juif. Pendant un grand laps de temps les souverains dâautres nations nâeurent pas connaissance de la conversion du royaume khazar, et quand ils lâapprirent, ils crurent que le royaume abritait les descendants des 10 tribus. Ces informations ne sont pas secrĂštes, elles proviennent dâun dictionnaire, The jewish Encyclopedia. Et cela prouve, mis Ă part 5 Ă 6 % de la population juive dâaujourdâhui, quâil nây a pas de liens directs avec les HĂ©breux. Donc ce ne sont pas des SĂ©mites ! Les juifs dâorigine khazars les plus connus aujourdâhui sont les Rothschild. Leur nom vient de lâenseigne Schild en allemand rouge Rot, le blason des Khazars, qui se trouvait sur le magasin de Mayer Amschel Bauer, dans la rue des Juifs Ă il est possible de rĂ©pondre Ă une question importante Pourquoi est-ce que ce sont les juifs qui ont planifiĂ© la rĂ©volution bolchevique, qui lâont faite et financĂ©e ? Que voulaient les juifs en Russie ? Pour les raisons Ă©noncĂ©es ci-avant, il est comprĂ©hensible que les Khazars, chassĂ©s par la monarchie russe, aient voulu reconquĂ©rir leur plus, les prĂ©sidents de lâUnion SoviĂ©tique, LĂ©nine, Staline, Khroutchev, Gorbachev, Eltsine, mĂȘme le leader dâextrĂȘme droite Jirinovsky, sont des juifs AshkĂ©naze, câest Ă dire des khazars !Il est primordial de comprendre cela, car câest bien la preuve que la notion dâantisĂ©mitisme nâa rien Ă voir avec ces juifs-lĂ , elle est donc complĂštement dĂ©placĂ©e. Tout le monde arabe par contre, est dâorigine sĂ©mite. Le bon terme serait judĂ©ophobe. Ce sont donc ceux qui disent que les juifs dâaujourdâhui nâont pas de rapport avec les HĂ©breux qui ont raison. Et ils nâont dix fois pas le droit Ă un Ătat dâIsraĂ«l en Palestine ! En clair, les habitants actuels dâIsraĂ«l nâont pas de raisons et pas de droit de vivre dans un Ă©tat israĂ©lien, car ils ne sont pas dâorigine hĂ©braĂŻque ou israĂ©lite. Les juifs modernes pourraient revendiquer, tout au plus, une partie de la juif du Birobidjan SituĂ© Ă 6 000 kilomĂštres Ă lâest de Moscou, Birobidjan fut donnĂ© aux Juifs de Russie par Staline dans les annĂ©es 1920. Cette enclave au cĆur de la SibĂ©rie orientale existe toujours et prospĂšre. Un expert de plus en la matiĂšre est Alfred Lilienthal, qui dans son livre The Zionist Connection montre Ă lâaide de documents, que la naissance de lâĂtat dâIsraĂ«l en 1948 a Ă©tĂ© lâaboutissement dâintrigues politiques massives entre des juifs khazars et leurs infĂąmes compagnons, en Angleterre et aux nâest un secret pour personne que le droit de lâĂtat sioniste Ă une terre sâappuie sur une loi internationale une rĂ©solution de lâONU de 1947 sur la rĂ©partition de la Palestine, et non pas sur lâorigine hypothĂ©tique du peuple juif ou sur le pacte mythique dâAbraham avec le Dieu YahvĂ© ! Cette rĂ©solution a Ă©tĂ© obtenue de force par les les dĂ©cisions viennent de New York. La plupart de nous savent quâil y a plus de juifs Ă New York quâĂ JĂ©rusalem, que New York appartient Ă des juifs khazars pas seulement les banques ou la RĂ©serve FĂ©dĂ©rale, mais aussi des immeubles, des terrains, des hypermarchĂ©s, etc.Le Rabbin Stephen Wise nous confirme dans son autobiographie que cette dĂ©claration de Lilienthal est un fait historique. JusquâĂ aujourdâhui les Arabes ont Ă©tĂ© bafouĂ©s et trompĂ©s autant quâil se peut. Vu sous cet angle, les juifs modernes, les Khazars, sont les plus grands antisĂ©mites, car ils torturent les peuples arabes, qui sont les vĂ©ritables SĂ©mites, en menant des guerres, Ă travers les banques juives internationales et -les magnats du pĂ©trole. Comprenez-vous tout, clairement ? Comprenez-vous que tout ce que vous entendez dans les mĂ©dias ou que vous regardez, est le contraire de la vĂ©ritĂ© ?Aussi la politique sioniste est-elle le fruit du travail des Khazars et non des HĂ©breux. Celui qui combat les sionistes nâest pas antisĂ©mite. Il est au plus antisioniste. MĂȘme le terme Sion a Ă©tĂ© faussĂ© par les Khazars. Les juifs sâattribuent la montagne Sion comme la montagne oĂč habite le peuple dominateur, ce qui est grotesque. Dans la Nouvelle Bible de JĂ©rusalem, Psaume 48, il est dit Il est grand le Seigneur, il est comblĂ© de louanges, dans la ville de notre Dieu, sa montagne sainte. Belle et altiĂšre, elle rĂ©jouit toute la terre. LâExtrĂȘme- Nord, câest la montagne de Sion, la citĂ© du grand roi. Le mot Sion est mal traduit. En hĂ©breu on lit Sion, et on dĂ©crit la montagne Sin sumĂ©rien, qui parle de la montagne du Nord â dâaprĂšs les Templiers Societas Templi Marcioni, la montagne de minuit, lâAllemagne actuelle. Et le Psaume 48 le dit bien La montagne de Sion se trouve loin dans le Nord!La plupart des gens en Europe rĂ©pondraient Ă la question sur la signification du judaĂŻsme, sans sourciller, que le judaĂŻsme est la religion des juifs, donc leur systĂšme de valeurs, leur foi. Ils diraient que câest la religion de lâAncien Testament et quâils sâappuient sur les enseignements de MoĂŻse. La plupart rĂ©pondraient dans ce sens, ce qui sonne ce nâest pas la vĂ©ritĂ© !HervĂ© Ryssen est le plus grand spĂ©cialiste contemporain de la question juive. Ses dix ouvrages majeurs sur lâhistoire et la psychanalyse du judaĂŻsme sont incroyablement riches, prĂ©cis et TreiziĂšme Tribu LâEmpire khazar et son hĂ©ritage. A lâĂ©poque oĂč Charlemagne se fit couronner empereur dâOccident, lâextrĂ©mitĂ© orientale de lâEurope, entre le Caucase et la Volga, Ă©tait dominĂ©e par un Ătat juif connu sous le nom dâEmpire khazarâŠÂ» Ainsi dĂ©bute le rĂ©cit dâArthur Koestler sur lâune des plus passionnantes Ă©nigmes des temps mĂ©diĂ©vaux. En historien novateur, il retrace mĂ©ticuleusement lâĂ©popĂ©e des Khazars, de leurs origines Ă leur dĂ©clin. Sâattardant sur la composition de la mosaĂŻque ethnique de ce peuple guerrier et sur ses mythes, lâauteur dĂ©peint un monde mĂ©connu qui contribua Ă façonner la destinĂ©e de lâEurope mĂ©diĂ©vale. De son Ă©tude ressort lâinfluence de cet Ă©pisode sur le dĂ©veloppement du judaĂŻsme russe et europĂ©en. Aux confins des mondes occidentaux et orientaux, Ă une Ă©poque riche en Ă©popĂ©es guerriĂšres, lâautoritĂ© khazare est le seul exemple concret dâun Ătat juif avant la fondation de lâIsraĂ«l hongrois nĂ© en 1905, Arthur Koestler, romancier, philosophe et essayiste, fait ses Ă©tudes Ă Vienne puis devient journaliste en Palestine. Revenu en Europe, il adhĂšre au parti communiste allemand, sĂ©journe en URSS puis participe Ă la guerre civile espagnole. InstallĂ© en Angleterre en 1940, il sâimpose dĂšs la fin des annĂ©es trente comme une grande figure de la lutte contre le totalitarisme soviĂ©tique, notamment Ă travers son chef-dâĆuvre Le ZĂ©ro et lâ distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive institution que lâon dĂ©signe souvent comme le Vatican du judaĂŻsme », est lâauteur de lâouvrage Les Pharisiens, Mouvement religieux, contexte sociologique de leur apparition, titre qui est devenu un classique dans le monde entier., le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous dit Le pharisaĂŻsme devint le talmudisme, le talmudisme devint le rabbinisme mĂ©diĂ©val, et le rabbinisme mĂ©diĂ©val devint le rabbinisme moderne. Mais au travers de tous ces changements de nom âŠ, lâesprit des anciens pharisiens est demeurĂ© le mĂȘme âŠ. De Palestine jusquâen Babylonie, de Babylonie jusquâen Afrique du Nord, puis en Italie, en Espagne, en France, et en Allemagne, puis de lĂ , en Pologne, en Russie, et dans toute lâEurope orientale, lâancien pharisaĂŻsme a continuĂ© son voyage, ⊠ce qui dĂ©montre son importance en tant que lâune des grandes religions du monde. »Dans ce grand classique, le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous retrace toute lâhistoire du judaĂŻsme, en partant du pharisaĂŻsme pratiquĂ© en JudĂ©e au temps de JĂ©sus. Le rabbin Louis Finkelstein y confirme ce que nous disait dĂ©jĂ lâĂ©minent rabbin Adolphe Moses, dans son plus grand classiquele rabbin Adolphe Moses nous dĂ©clare Parmi tous les malheurs qui sont advenus, celui dont les consĂ©quences furent les plus regrettables, est lâinvention du mot judaĂŻsme ». Pire encore, les Juifs eux-mĂȘmes en sont venus Ă dĂ©signer leur propre religion sous le nom de judaĂŻsme », alors que ni dans la Bible, ni dans les Ă©crits postĂ©rieurs, ni dans le Talmud, il nâest fait une seule fois mention de ce terme. La Bible parle de la Torah Yahweh, de lâinstruction », ou de la loi morale rĂ©vĂ©lĂ©e par Yahweh », ou encore en dâautres lieux de Yirath Yahweh la crainte de Yahweh ». Ce sont ces appellations qui furent employĂ©es au cours des Ăąges au sein de notre religion. Toutefois, pour la distinguer du christianisme et de lâislam, les philosophes juifs la dĂ©signent parfois comme la foi des Juifs ». Mais câest Flavius JosĂšphe qui a inventĂ© le terme de judaĂŻsme pour pourvoir Ă lâinstruction des Grecs et des Romains sur cette question, et de maniĂšre Ă distinguer cette religion de lâhellĂ©nisme. Par le mot hellĂ©nisme », il faut comprendre toute la civilisation, y compris la langue, la poĂ©sie, la religion, lâart, la science, les maniĂšres, la coutume, et les institutions, qui sâĂ©taient rĂ©pandues depuis la GrĂšce, foyer originel, jusquâaux vastes rĂ©gions dâEurope, dâAsie et dâ sĂ»r, les chrĂ©tiens sâemparĂšrent avidement du mot, pendant que les Juifs, qui dĂ©testaient profondĂ©ment le traĂźtre Flavius JosĂšphe, refusaient tout simplement de lire ses Ă©crits. Câest pourquoi le terme de judaĂŻsme », inventĂ© par Flavius JosĂšphe, resta complĂštement inconnu des Juifs, et ne fut utilisĂ© par eux quâĂ une Ă©poque relativement rĂ©cente ; aprĂšs que les Juifs eussent commencĂ© Ă lire des ouvrages chrĂ©tiens. Câest pourquoi ils se mirent eux aussi, Ă appeler leur religion âjudaĂŻsmeâ. »Ces deux citations des deux plus grands spĂ©cialistes mondiaux sur ce sujet, Ă©tablissent Ă la fois que le judaĂŻsme » ne fut jamais le nom dâaucun culte religieux pratiquĂ© en JudĂ©e aux temps de JĂ©sus Flavius JosĂšphe vivant au premier siĂšcle de notre Ăšre, et que le culte pratiquĂ© aujourdâhui par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s descend directement du pharisaĂŻsme. Lettre de Benjamin H. Freedman au Docteur David GoldsteinEn considĂ©ration de votre illustre position, je vous avoue quâil mâa fallu un grand courage pour oser vous Ă©crire cette si longue lettre. Je prie donc pour que vous lisiez mes paroles en gardant Ă lâesprit le verset 16 du chapitre 4 de lâĂpĂźtre aux Galates Suis-je donc devenu votre ennemi en vous disant la vĂ©ritĂ© ? », et jâespĂšre que vous me ferez lâhonneur de mĂ©diter sur le sens profond de ce verset, avant de rĂ©agir Ă tout ce que je vais vous vĂ©ritablement pour moi une source de grand plaisir et de joie authentique de pouvoir vous saluer enfin, malgrĂ© tous les inconvĂ©nients de la correspondance. JâĂ©prouve une dĂ©ception profonde de devoir faire votre connaissance de cette maniĂšre. Ma joie actuelle serait bien plus intense si jâavais eu le privilĂšge de pouvoir vous saluer en personne pour lâoccasion de notre premiĂšre dĂ©couvrirez dans cette lettre un grand nombre de raisons qui justifieront pleinement lâurgence avec laquelle jâai dĂ» mettre fin Ă toute temporisation pour entrer de plein pied en contact avec vous. Vous dĂ©couvrirez que cette urgence ne fait que reflĂ©ter la gravitĂ© de la crise qui met aujourdâhui en pĂ©ril la permanence de la foi chrĂ©tienne dans cette lutte ancestrale qui fit dâelle la force spirituelle et sociale la plus efficace pour le dĂ©veloppement du bien ĂȘtre de toute lâhumanitĂ©, dans une mission divine qui nâavait de considĂ©ration ni pour une race particuliĂšre, ni pour une religion particuliĂšre, ni pour une nationalitĂ© dernier article est paru au mois de septembre dans le Bulletin du la publication officielle de cette organisation qui sâest baptisĂ© La Grande ConfraternitĂ© de ceux qui Prient pour la paix et la bienveillance envers IsraĂ«l⊠Le titre de votre article Ce que pensent les Juifs aujourdâhui », et la vocation du rappelĂ©e sur la premiĂšre page Faire connaĂźtre et promouvoir lâapostolat chrĂ©tien entrepris parmi IsraĂ«l », me poussĂšrent immĂ©diatement Ă saisir par les cheveux lâoccasion de vous prĂ©senter mes commentaires. Je sollicite donc votre indulgence si ma lettre prĂ©sente les dĂ©fauts de la spontanĂ©itĂ© qui lui a donnĂ© les plus grands intĂ©rĂȘts de cette noble cause, Ă laquelle vous continuez Ă consacrer tout votre temps ainsi que vous lâavez toujours scrupuleusement fait depuis dĂ©jĂ plusieurs dĂ©cennies, je vous invite trĂšs respectueusement et trĂšs sincĂšrement Ă Ă©tudier attentivement les donnĂ©es qui vont ĂȘtre prĂ©sentĂ©es ici. Je vous suggĂšre Ă©galement de prendre toutes les mesures que vous jugerez nĂ©cessaires, et qui seront le rĂ©sultat logique de vos conclusions. Au milieu de cette guerre idĂ©ologique, invisible et intangible, qui se livre pour la dĂ©fense de lâimmense hĂ©ritage chrĂ©tien contre ses ennemis consacrĂ©s, une attitude favorable de votre part serait un pas capital vers la victoire. En revanche, votre simple passivitĂ© se muerait immĂ©diatement en un recul sensible de lâeffort souscrivez probablement Ă cet adage selon lequel il est prĂ©fĂ©rable dâallumer une seule bougie plutĂŽt que de rester assis dans les tĂ©nĂšbres, et bien jâai toujours pensĂ© moi aussi quâil dĂ©peignait une attitude trĂšs sensĂ©e et trĂšs saine. Certes, les tentatives solitaires que jâai dĂ©jĂ entreprises pour donner la lumiĂšre Ă ceux qui sont dans les tĂ©nĂšbres, pourraient avoir le mĂȘme rĂ©sultat auprĂšs de vous quâauprĂšs de ce nombre considĂ©rable de personnes qui demeurent la preuve vivante de tous les Ă©checs que jâai connus au cours des trente derniĂšres annĂ©es. Mais dans votre cas et jusquâau jour dâaujourdâhui, je suis restĂ© assez toujours nourri lâespoir, pas tout Ă fait vain me semble-t-il, quâun jour, lâune de ces chandelles se transformerait en un vĂ©ritable brasier, comme un tison qui dort dans une grange et se rĂ©veille tout dâun coup pour dĂ©chaĂźner un immense feu de prairie, appelĂ© Ă traverser de part en part toute la nation, avant dâilluminer pour la premiĂšre fois les vastes horizons dâun avenir rĂ©novĂ©. Voyez-vous, câest dans ce rĂȘve irrĂ©ductible que je puise le courage qui me maintient sur le champ de bataille, avec en face de moi, toute cette Ă©trange Ă©trangetĂ© Ă laquelle lâhistoire de ma vie mâa Ă©videmment des milliers dâannĂ©es, il a Ă©tĂ© dit avec justesse quâĂ la fin câest toujours la vĂ©ritĂ© qui prĂ©vaut ». En effet, nous savons tous que la vĂ©ritĂ© peut se rĂ©vĂ©ler dâune force infinie. Mais hĂ©las, jusquâĂ ce jour, nul nâa vu la vĂ©ritĂ© se mettre en marche toute seule. Personne nâa jamais vu la vĂ©ritĂ© quitter son point mort sans quâun apĂŽtre ne lui ait dĂ»ment communiquĂ© la poussĂ©e minimale qui puisse contrebalancer son inertie. Sans cela, la vĂ©ritĂ© ne bougera pas, et ne fera bouger cher Docteur Goldstein, vous avez sans doute dĂ©jĂ observĂ© quâen voulant faire un peu de bien dâun cĂŽtĂ©, les personnes bien intentionnĂ©es » dĂ©clenchent souvent un mal irrĂ©parable de lâautre. Chacun de nous finit par rencontrer cette expĂ©rience bien amĂšre. Ainsi, le jour dâaujourdâhui vous montre dans le perpĂ©tuel sacrifice de tous vos efforts et de toute votre Ă©nergie, dans le but Ă©mĂ©rite de faire entrer les Juifs » prĂ©tendus, ou autoproclamĂ©s tels dans le sein de lâĂglise catholique romaine, par le biais de la conversion Ă notre foi. Beaucoup de grĂące et meilleure chance Ă vous, puissent vos efforts ĂȘtre couronnĂ©s dâun grand succĂšsâŠMais mon cher Docteur Goldstein, je dois vous dire que votre travail contribue sans que vous ne le sachiez, et dâune maniĂšre non nĂ©gligeable, Ă la dissolution de la foi dâun nombre considĂ©rable de rĂ©action dont vous allez faire preuve face Ă ce que vous allez lire, peut devenir le verdict le plus important jamais prononcĂ© au cours des derniers siĂšcles, dans le domaine de la dĂ©fense de la foi chrĂ©tienne. Je vous recommande donc sincĂšrement de ne pas perdre de vue la grande responsabilitĂ© qui va ĂȘtre la vĂŽtre maintenant, et jâespĂšre que vous allez Ă©tudier cette lettre dans le moindre dĂ©tail, depuis son premier mot, jusquâĂ son tout ceux qui le nient partout et en permanence, les Ă©vĂ©nements de ces derniĂšres annĂ©es ont attestĂ© sans plus laisser le moindre doute, que la foi chrĂ©tienne se prĂ©sente dĂ©sormais avec un pied dans la tombe, et un autre pied sur une peau de banane, en parlant figurativement je vous lâaccorde. Mon cher Docteur Goldstein, ne pas sâen rendre compte serait se fermer dĂ©finitivement Ă toute rĂ©alitĂ©, et choisir de ne plus voir les Ă©vidences. Je crois que vous ĂȘtes bien trop rĂ©aliste pour vous autoriser ainsi Ă vous duper les chrĂ©tiens du monde libre ne pourront plus exercer publiquement leur foi, nous aurons connu le dernier jour du christianisme. Ce que connaissent dĂ©jĂ 50 % des humains pourrait trĂšs vite se propager Ă toute la population du monde. Câest mĂȘme trĂšs probablement ce qui devrait se produire, si le cours des choses suit la tendance actuelle. Une maladie maligne ronge le monde comme un cancer, elle se propage de maniĂšre gĂ©omĂ©trique, comme des cellules cancĂ©reuses. Elle se rĂ©vĂ©lera sĂ»rement fatale si des mesures dâune extrĂȘme rigueur ne sont prises trĂšs vite pour lâendiguer. Mais quâest-il entrepris aujourdâhui pour la stopper, ou mĂȘme seulement pour la ralentir ?Mon cher Docteur Goldstein, vous souvenez-vous du nom de ce philosophe qui a dit il nây a rien de permanent dans le monde, sauf le changement » ? Et bien cette philosophie devra sâappliquer Ă la foi chrĂ©tienne elle aussi⊠Et mon autre question Ă 100 francs est de savoir si ce changement sera pour le meilleur, ou pour le pire⊠Le problĂšme est aussi simple que cela. Or, si lâon continue Ă suivre pendant les 37 annĂ©es qui viennent, la voie qui fut la nĂŽtre au cours des 37 annĂ©es qui prĂ©cĂšdent, la foi chrĂ©tienne telle quelle est professĂ©e aujourdâhui aura complĂštement disparue de la surface du globe. Sous quelle forme se manifestera alors la mission de JĂ©sus-Christ sur la Terre, voilĂ qui est aussi peu prĂ©dictible quâ cette situation de crise, vous conviendrez quâil ne serait ni trĂšs logique, ni trĂšs rĂ©aliste, de chasser une multitude de chrĂ©tiens du refuge que la foi chrĂ©tienne leur donne, pour lâavantage trĂšs relatif de faire entrer un nombre de Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, proportionnellement dessein nâest pas de dĂ©noncer ici les conspirateurs qui se sont vouĂ©s Ă la destruction de la foi chrĂ©tienne, ni de mâĂ©tendre sur la nature exacte ou sur lâĂ©tendue de cette conspiration. Cela demanderait la rĂ©daction de plusieurs ouvrages. Lâhistoire des derniers siĂšcles, et notamment les Ă©vĂ©nements des derniĂšres annĂ©es, confirment lâexistence dâune telle conspiration, jâen ferai toute la preuve une autre fois. Un rĂ©seau mondial de conspirateurs diaboliques dĂ©ploie jour aprĂšs jour, avec la plus grande mĂ©thode, chacune des phases de son complot contre la foi chrĂ©tienne, alors que les chrĂ©tiens semblent dormir les poings fermĂ©s. Et le comble voyez-vous, câest que le clergĂ© manifeste plus dâindiffĂ©rence Ă cette conspiration que les chrĂ©tiens eux-mĂȘmes. On dirait que les prĂȘtres ne veulent quâune seule chose enfouir leur tĂȘte le plus profond possible dans le sable de lâignorance, comme lâautruche, qui selon la lĂ©gende, agirait ainsi Ă lâapproche du danger. Cette ignorance, ou cette indiffĂ©rence de la part du clergĂ©, a dĂ©jĂ portĂ© un sĂ©rieux coup Ă la foi chrĂ©tienne, duquel elle pourrait bien ne jamais se relever complĂštement, si tant est quâelle puisse un jour se relever. Câest si triste de voir le clergĂ© chrĂ©tien collaborer Ă lâanĂ©antissement de la foi oublier tout le respect que je dois Ă lâautoritĂ© ecclĂ©siastique, et en toute humilitĂ©, je me retrouve avec une tĂąche bien difficile Ă accomplir⊠En effet, je voudrais dĂ©clarer ici publiquement que lâautoritĂ© ecclĂ©siastique est la principale, si ce nâest la seule responsable de la prĂ©sence de ces forces internes qui trahissent allĂšgrement les intĂ©rĂȘts de lâĂglise. Cette conclusion que je vous prĂ©sente, condense Ă elle seule toutes les informations que jâai pu rĂ©pertorier jusquâĂ aujourdâhui. Mon cher Docteur Goldstein, si vous dĂ©sirez vraiment agir dâune maniĂšre constructive et rĂ©aliste, il va vous falloir mettre les pieds dans le plat », sans vous inquiĂ©ter des petits doigts en lâair et autres grincements de dents. Câest la seule stratĂ©gie qui nous reste si lâon veut Ă©viter de justesse le destin qui nous attend. Vous ne pouvez plus continuer Ă minauder avec la vĂ©ritĂ©, sous prĂ©texte que la vĂ©ritĂ© blesse ceux qui vous connaissent, ou ceux que vous cette heure tardive, il ne nous reste que trĂšs peu de temps pour rĂ©parer la barriĂšre, si vous mâautorisez cette image champĂȘtre et prosaĂŻque. Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre la moindre seconde. Tourner autour du pot » ne nous conduirait nulle part. Seuls des hommes courageux parviendront Ă franchir la tempĂȘte qui approche. Et pour parler Ă nouveau en figure, ou mĂȘme peut-ĂȘtre que cette fois-ci je lâentends littĂ©ralement Les hĂ©ros seront vivants, et les couards seront morts, lorsque la poussiĂšre de cette guerre ancestrale sera retombĂ©e » ; et non pas Les hĂ©ros seront morts, et les couards seront vivants », comme cela se produisait parfois, dans dâautres circonstancesâŠBien sĂ»r, cette confusion dans lâesprit des chrĂ©tiens Ă propos des fondements de notre foi est tout Ă fait injustifiĂ©e et ne repose sur rien de rĂ©el ; elle nâa aucune raison dâĂȘtre, et elle nâexisterait pas si lâautoritĂ© ecclĂ©siastique nâavait pas Ă©tĂ© la grande complice de toutes les supercheries qui la firent apparaĂźtre. Certes, je sais que des membres du clergĂ© pourraient ĂȘtre sincĂšrement blessĂ©s dâapprendre quâils ont Ă©tĂ© les complices des ennemis consacrĂ©s de la foi chrĂ©tienne, et je vous accorde que beaucoup de prĂȘtres sont leurs alliĂ©s sans le savoir ; mais cette ignorance est le plus gros obstacle Ă une dĂ©fense constructive de la foi chrĂ©tienne contre ses ennemis chrĂ©tiens sans nombre, que leur ignorance du problĂšme Ă pousser malgrĂ© eux sur la touche du champ de bataille, voient de jour en jour la foi chrĂ©tienne pourrir un peu plus sur la vigne, et se faisander au point de tomber toute seule dans le gosier avide de ses ennemis immĂ©moriaux. Les chrĂ©tiens observent ce spectacle, impuissants ; et la coupe quâils doivent boire est rendue plus amĂšre par la vue de lâindiffĂ©rence du clergĂ© censĂ© les conduire. Cette apathie du clergĂ©, livre Ă ses agresseurs la foi chrĂ©tienne privĂ©e de toute dĂ©fense. Et leur attitude fuyante nous conduira inĂ©luctablement Ă la dĂ©faite. Pour Ă©viter une reddition sans condition aux ennemis de toujours, le clergĂ© doit maintenant faire face sans le moindre dĂ©lai, sâil dĂ©sire sortir vainqueur dans ce combat idĂ©ologique invisible et intangible qui se livre sous son nez⊠Quand va-t-il se rĂ©veiller ?JĂ©sus-Christ Ă©tait-Il Juif » ou JudĂ©en » ?Mon cher Docteur Goldstein, vous ĂȘtes un thĂ©ologien de prestige et un historien de marque, vous auriez donc dĂ» partager lâavis des plus grands spĂ©cialistes sur la prĂ©tendue judaĂŻcitĂ© » de JĂ©sus-Christ. Les plus grands spĂ©cialistes sâaccordent aujourdâhui pour dire que le raisonnement ou lâinsinuation suivant laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », ne repose sur aucune base factuelle. Des faits historiques incontestables, ainsi quâune profusion dâautres preuves, Ă©tablissent par delĂ tous les doutes possibles lâabsurditĂ© de cette phrase que lâon entend partout aujourdâhui JĂ©sus Ă©tait juif ».Sans redouter la moindre contradiction qui sâappuyĂąt sur des faits historiques, les spĂ©cialistes les plus qualifiĂ©s sâaccordent sur ce point prĂ©cis que JĂ©sus-Christ nâĂ©tait pas un Juif ». Ils pourront vous confirmer texte original Ă lâappui, que pendant sa vie JĂ©sus-Christ Ă©tait dĂ©signĂ© comme un JudĂ©en » par ses contemporains, et non comme un Juif » ; ils vous diront Ă©galement que JĂ©sus-Christ Se dĂ©signait Lui-mĂȘme comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ». Pendant son passage ici sur Terre, JĂ©sus fut dĂ©signĂ© par les historiens de lâantiquitĂ© comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ». Tous les thĂ©ologiens de lâantiquitĂ©, dont la maĂźtrise de la question pourrait difficilement ĂȘtre mise en doute, dĂ©signent JĂ©sus-Christ pendant Sa vie, ici, sur Terre, comme un JudĂ©en », et non comme un Juif ».Maintenant mon cher Docteur Goldstein, ainsi que vous le savez, le mot latin Rex ne signifiait pas roi » initialement, mais chef dâune tribu », leader en anglais ; et aux temps de JĂ©sus-Christ, ce mot nâavait pas dâautre sens pour les JudĂ©ens qui connaissaient la langue latine. Le mot latin rex, vient du verbe latin rego, regere et signifie diriger, conduire, mener, ĂȘtre Ă la tĂȘte de⊠». Ăvidemment, le latin Ă©tait la langue officielle dans toutes les provinces de lâEmpire Romain, et câest pourquoi lâinscription sur la croix fut rĂ©digĂ©e Ă©galement en aprĂšs leur invasion des Ăles Britanniques, les Anglo-Saxons remplacĂšrent le mot latin rex, par le mot king. Mais le remplacement du mot rex par le mot king Ă cette Ă©poque postĂ©rieure, ne modifie pas rĂ©troactivement le sens que les Romains donnaient au mot rex Ă lâĂ©poque de JĂ©sus-Christ. Le latin rex signifiait simplement pour eux chef souverain », un leader. Le mot anglo-saxon king, avait dâailleurs une graphie diffĂ©rente de celle dâaujourdâhui, lorsquâil a remplacĂ© le mot latin rex, mais toutefois son sens Ă©tait encore Ă peu prĂšs Ă©quivalent Ă celui du Ponce Pilate, il Ă©tait bien Ă©vident que JĂ©sus-Christ Ă©tait la derniĂšre personne que les JudĂ©ens auraient acceptĂ©e comme chef de tribu ». MalgrĂ© cela, Ponce Pilate nâa pas hĂ©sitĂ© Ă ordonner cette inscription Iesus Nazarenus rex Iudaeorum, et je rĂ©pĂšte que mĂȘme par le plus sauvage Ă©tirement de lâimagination, on ne peut soutenir que ces mots de Pilate furent autre chose quâun misĂ©rable sarcasme. Par cette rĂ©fĂ©rence Ă JĂ©sus-Christ comme chef des JudĂ©ens », ceux-ci auraient ourdi la crucifixion de leur chef lâĂ©poque de JĂ©sus-Christ, les Romains dĂ©signaient le territoire actuel de la Palestine sous le nom dâIudaea. Cette province Ă©tait administrĂ©e par Ponce Pilate comme une partie intĂ©grante de lâEmpire romain. La traduction française dâIudaea est la JudĂ©e ». Le seul adjectif français que lâon puisse construire sur ce nom latin dâIudaea est JudĂ©en », et non pas Juif ». Ainsi, la population qui vivait Ă lâemplacement de la zone gĂ©ographique connue actuellement sous le nom de Palestine, Ă©tait dĂ©signĂ©e en latin, Ă lâĂ©poque de JĂ©sus-Christ, par le mot Iudaeus les JudĂ©ens ». Ă strictement parler, ce mot ne dĂ©signait rien dâautre que les habitants vivant Ă lâintĂ©rieur des frontiĂšres de la JudĂ©e Ă cette Ă©poque. Or qui pourrait nier que JĂ©sus-Christ ne fut, Lui aussi, un habitant de la JudĂ©e de cette Ă©poque ?Or vous savez trĂšs bien, mon cher Docteur Goldstein, que le gĂ©nitif pluriel du latin Iudaeus est Iudaeorum. Et que la traduction française littĂ©rale du gĂ©nitif pluriel Iudaeorum, devrait ĂȘtre des JudĂ©ens », et non pas des Juifs ». Il est complĂštement impossible de donner une autre traduction littĂ©rale au latin Iudaeorum. Câest pourquoi comme je vous le disais, tous les thĂ©ologiens et les historiens, qui maĂźtrisent bien ce problĂšme, savent quâil faut traduire Iesus Nazarenus rex Iudaeorum par JĂ©sus le NazarĂ©nien chef souverain des JudĂ©ens ». Vous devez tomber dâaccord sur cher Docteur Goldstein, ouvrez bien vos oreilles, car nous arrivons maintenant au cĆur du problĂšme il nâexiste aucun fondement historique qui nous permette de dire que le mot grec ioudaiwj, le mot latin Iudaeus, ou le mot français JudĂ©ens », aient jamais possĂ©dĂ© la moindre connotation religieuse !Dans leurs langues respectives, ces mots nâont toujours revĂȘtu quâune simple connotation gĂ©ographique. Ces mots Ă©taient utilisĂ©s pour identifier les habitants qui Ă©taient nĂ©s dans le territoire de la JudĂ©e. Et Ă lâĂ©poque de JĂ©sus-Christ, il nâexistait aucun culte religieux en JudĂ©e ou ailleurs dont le nom ait la mĂȘme racine que le mot JudĂ©e », comme câest par contre le cas pour le culte religieux dĂ©nommĂ© judaĂŻsme ». Aucun culte, ni aucune secte ne portait le nom de judaĂŻsme ».Personne ne pourra contredire le fait que le mot Jew Juif nâexistait pas dans la langue anglaise avant lâannĂ©e premiĂšre acception Ă©crite du mot Jew en langue anglaise, nous a Ă©tĂ© laissĂ©e au XVIIIe siĂšcle par Sheridan dans sa piĂšce de théùtre Les Rivaux. Dans lâActe 2, scĂšne 1 de cette piĂšce, nous lisons Elle aura la peau dâune momie, et la barbe dâun Juif ». Avant cette utilisation du mot Jew faite par Sheridan, ce mot nâexistait pas dans notre langue. Ainsi, Shakespeare ne lâemploya dans aucune de ses piĂšces, comme vous pourrez le vĂ©rifier vous-mĂȘme. Certes, dans le Marchand de Venise, acte 5 scĂšne 3, il est bien question dâun Juif ». Mais pour ce passage prĂ©cis, lâĂ©dition originale nous donne Et pourquoi ? Je suis un Iewe, et un Iewe nâa-t-il pas dâyeux ? ».Dans la Vulgate, JĂ©sus est dĂ©signĂ© comme lâun des JudĂ©ens », grĂące au gĂ©nitif pluriel Iudaeorum. JĂ©sus est dĂ©signĂ© pour la premiĂšre fois par le mot Jew au XVIIIe siĂšcle, dans lâĂ©dition rĂ©visĂ©e de la premiĂšre traduction anglaise du Nouveau Testament qui remontait au XIVe siĂšcle. LâĂ©tymologie du mot Jew dans la langue anglaise, ne laisse aucun doute sur le fait que le mot Jew du XVIIIe siĂšcle provient directement du mot Iudaean de la Vulgate. Les manuscrits allant du IVe au XVIIIe siĂšcle, retracent prĂ©cisĂ©ment lâĂ©volution du mot Iudaean dans la langue anglaise. Dans ces manuscrits, on trouvera que la langue anglaise Ă connu un trĂšs grand nombre dâĂ©quivalents au mot Jew, tout au long de son histoire. Depuis le latin Iudaeus jusquâĂ lâanglais moderne Jew, on rencontre successivement Gyu, Giu, Iu, Iuu, Iuw, Ieuu, Ieuy, Iwe, Iow, Iewe, Ieue, leue, Iue, Ive, lew, et finalement au XVIIIe siĂšcle Jew. Et pour le pluriel on a Giwis, Giws, Gyues, Gywes, Giwes, Geus, Iuys, Iows, Iouis, Iews, et finalement au XVIIIe siĂšcle XVIIIe siĂšcle, les presses typographiques sâĂ©taient grandement amĂ©liorĂ©es, et on imprima des quantitĂ©s illimitĂ©es du Nouveau Testament. Ces Ă©ditions rĂ©visĂ©es, qui se basaient encore toutes sur la premiĂšre Ă©dition en langue profane du XIVe siĂšcle, furent largement distribuĂ©es dans tout le monde anglophone, et de nombreuses familles qui nâavaient jamais possĂ©dĂ© de Bible, ont pu en acquĂ©rir une qui soit rĂ©digĂ©e dans la langue quâils parlaient tous les jours. Câest dans cette Ă©dition rĂ©visĂ©e que le mot Jew apparaĂźt pour la premiĂšre fois. Et grĂące Ă lâimportance du tirage, la forme Jew sâest dĂ©finitivement imposĂ©e dans la langue que vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, les Ă©ditions les plus connues du Nouveau Testament en langue anglaise sont la Rheims Douai Edition, et la King James Authorized Edition. La premiĂšre traduction du Nouveau Testament en anglais de la Rheims Edition date de 1582, et conformĂ©ment Ă ce qui a Ă©tĂ© dit, le mot Jew ne sây trouve pas. De mĂȘme pour la premiĂšre traduction en anglais du Nouveau Testament de la King James Authorized Edition de 1611. Le mot Jew ne fit son apparition, dans ces deux Ă©ditions les plus connues du Nouveau Testament, que dans leurs Ă©ditions rĂ©visĂ©es du XVIIIe nombre incalculable de ces Ă©ditions sorties des presses typographiques a circulĂ© parmi le clergĂ© et les laĂŻcs de tout le monde anglophone ; mais parmi ces personnes, trĂšs peu ne connaissaient ou ne se prĂ©occupaient de lâĂ©tymologie exacte du mot Jew, quâils dĂ©couvraient pour la premiĂšre fois. Ils acceptĂšrent donc naturellement le mot Jew comme la traduction officielle du latin Iudaeus et du grec ioudaiwv. Il sâagissait simplement dâun mot nouveau pour cher Docteur Goldstein, comme vous le savez dĂ©jĂ , la langue anglaise est largement composĂ©e de mots empruntĂ©s Ă des langues Ă©trangĂšres. AprĂšs leur adoption par la langue anglaise, ces mots Ă©trangers subissent diverses adaptations et contractions de leur orthographe, afin de les rendre plus aisĂ©ment prononçables dans le systĂšme phonĂ©tique anglais. Ce procĂ©dĂ© dâadoption de mots Ă©trangers, puis de leur adaptation, est Ă lâorigine de nombreux mots nouveaux, tels que le mot cab, qui nous vient du français cabriolet ». Et nous pourrions trouver des milliers dâexemples comme celui-ci. Vous devez dĂ©jĂ en avoir des dizaines sur le bout des par ce procĂ©dĂ© naturel dâadoption-adaptation, que le latin Iudaeus et le grec ioudaiwv ont fini par donner le mot Jew que nous connaissons. Ainsi, les anglophones auront dĂ» se battre pendant 14 siĂšcles avant de trouver la prononciation et lâorthographe qui leur convienne, pour lâadoption du mot latin mots Iudaeus et ioudaiwv ne pouvant se prononcer facilement en anglais, il a donc fallu forger un mot derniĂšre confirmation, je vous citerais lâĂ©dition Wyclife de la Bible de 1380, la toute premiĂšre traduction de la Vulgate en anglais. Dans cette Ă©dition, JĂ©sus est dĂ©signĂ© comme lâun des Iewes », car telle Ă©tait la version anglaise du latin Iudaeus au XIVe siĂšcle, et elle se prononçait HHHYOU-WIIIZ » au pluriel, le singulier Iewe se prononçait HHHYOU-WIII ». Pour le verset de Jean 1919, on lit dans cette Ă©dition Ihesus of nazareth kyng of the iewes ». Avant le XIVe siĂšcle, la langue anglaise sâĂ©tait dotĂ©e dâun grand nombre de mots anglo-saxons, dont le mot kyng, qui avait la mĂȘme signification que le latin rex et que le grec basileuv, câest-Ă -dire, celle de chef de tribu ».Les sens dĂ©rivĂ©s du mot Juif »Mon cher Docteur Goldstein, si le mot Juif » et le mot JudĂ©en » dĂ©signaient une chose identique, comme cela devrait ĂȘtre le cas si lâon se basait uniquement sur leurs Ă©tymologies respectives, soyez bien persuadĂ© que je ne me serais pas lancĂ© dans toutes ces fastidieuses Ă©numĂ©rations, et que lâemploi de lâun ou de lâautre pour dĂ©signer JĂ©sus-Christ dans le Nouveau Testament ou ailleurs, me serait parfaitement Ă©gal. Mais voilĂ , dans lâesprit des gens, ce que dĂ©signe le mot JudĂ©en », et ce que dĂ©signe le mot Juif », sont deux idĂ©es aussi Ă©loignĂ©es lâune de lâautre que le blanc lâest du pendant les XVIIIe, XIXe, et XXe siĂšcles, un groupe de pression international, trĂšs bien organisĂ© et trĂšs bien financĂ©, a gĂ©nĂ©rĂ© un sens dĂ©rivĂ© au mot Juif ». Et ce sens dĂ©rivĂ©, profondĂ©ment implantĂ© dans lâesprit des gens, nâa plus rien Ă voir avec le sens que le mot Juif » Jew avait au XVIIIe siĂšcle. Ce nouveau sens est le rĂ©sultat dâune dĂ©formation sens dĂ©rivĂ© du mot Juif » a aujourdâhui autant de points communs avec son sens initial, que le sens du mot Coca, par exemple, a de points communs avec le sens initial du mot coca. Le sens dĂ©rivĂ© du mot Coca correspond Ă la boisson gazeuse ainsi dĂ©nommĂ©e, mais son sens initial est celui dâun arbuste dâAmĂ©rique du le rĂ©sultat dâune quantitĂ© astronomique dâargent, dĂ©pensĂ©e dans des campagnes publicitaires dâenvergure mondiale. Aujourdâhui, si vous dites Ă lâun de vos amis passe-moi une Camel », il nâira jamais vous chercher un chameau. De mĂȘme que si vous lui demandez un Coca », il nâira jamais vous dĂ©terrer un arbuste en AmĂ©rique du Sud. Ainsi, les sens dĂ©rivĂ©s parviennent Ă Ă©clipser presque complĂštement le sens correct et initial des mots dans lâesprit des gens. Et le sens dĂ©rivĂ© du mot Jew aujourdâhui ne fait pas exception, il a pratiquement Ă©clipsĂ© le sens correct et initial du mot Jew, lorsque celui-ci a Ă©tĂ© introduit dans la langue anglaise, au XVIIIe trois siĂšcles, une campagne mondiale abondamment financĂ©e et prĂ©cisĂ©ment minutĂ©e, ayant Ă son actif tous les mĂ©dias disponibles du monde entier, a dĂ©veloppĂ© un sens secondaire au mot Juif », qui a fini par oblitĂ©rer totalement le sens correct et initial du mot Juif ». Il nây a pas lâombre dâun doute Ă ce une seule personne dans tout le monde anglophone, ne considĂšre encore aujourdâhui un Juif » comme un JudĂ©en » au sens littĂ©ral. Alors que câĂ©tait le seul sens de ce mot au XVIIIe siĂšcle. Dans lâesprit des gens, le mot Juif » fait maintenant rĂ©fĂ©rence Ă un ensemble de cinq thĂ©ories qui sont universellement admises Un Juif » est une personne qui professe la religion du judaĂŻsme. » Un Juif » est une personne qui appartient Ă un groupe racial liĂ© aux anciens SĂ©mites. » Un Juif » est une personne dont les ancĂȘtres appartenaient Ă une nation qui prospĂ©rait aux temps bibliques dans la zone gĂ©ographique de la Palestine les IsraĂ©lites, ou les HĂ©breux. » Un Juif » est une personne qui bĂ©nĂ©ficie de par son origine dâune sorte dâĂ©lection divine, et qui prĂ©sente de part son histoire des caractĂ©ristiques culturelles supĂ©rieures, dont les autres races sont dĂ©pourvues. » Un Juif » est Juif » tout Ă la fois par sa race, sa religion et son identitĂ© nationale. » Cependant, sachez que tous les sous-entendus qui se cachent maintenant derriĂšre le mot Juif », sont petit Ă petit replacĂ©s dans leur juste perspective par un nombre croissant de chrĂ©tiens sensĂ©s dans ce pays⊠De tels chrĂ©tiens savent que ces sous-entendus sont en contradiction flagrante avec des faits historiques certains. Depuis longtemps dĂ©jĂ , les chrĂ©tiens qui ne tolĂšrent plus quâon les prenne pour des imbĂ©ciles, soupçonnent la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique qui lui rĂ©gurgite Ă longueur de dimanche son cantique prĂ©fĂ©rĂ© JĂ©sus Ă©tait juif », JĂ©sus Ă©tait juif », et Marie⊠était juive ! ». Leur litanie commence mĂȘme Ă friser la nombre incalculable de chrĂ©tiens comprend que le clergĂ© leur a fait subir un vĂ©ritable lavage de cerveau, en les matraquant systĂ©matiquement par cette phrase JĂ©sus Ă©tait juif, alors vous comprenez⊠». Les chrĂ©tiens ne veulent dĂ©sormais entendre quâune seule chose de la part du clergĂ© la vĂ©ritĂ©, toute la vĂ©ritĂ©, et rien que la vĂ©ritĂ© ».Il est urgent maintenant que le clergĂ© dise aux chrĂ©tiens ce quâil aurait dĂ» leur dire depuis longtemps ; car de tous les groupes religieux du monde, les chrĂ©tiens sont les moins informĂ©s sur ces questions qui les concernent pourtant de trĂšs prĂšs⊠La hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique aurait-elle fait quelques compromis avec la vĂ©ritĂ© ?Les chrĂ©tiens intelligents nâadmettent plus comme parole dâĂvangile lâassertion sans fondement selon laquelle JĂ©sus, pendant sa vie en JudĂ©e, ait appartenu Ă un groupe qui pratiquait le culte religieux connu aujourdâhui sous le nom de judaĂŻsme ». Ils ne croient pas non plus que JĂ©sus-Christ, pendant sa vie, ici sur Terre, ait appartenu Ă la mĂȘme communautĂ© raciale que la grande majoritĂ© des Juifs » dâaujourdâhui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ; ni que ces Juifs » dâaujourdâhui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s soient les descendants de ce peuple qui vivait en JudĂ©e et auquel JĂ©sus-Christ hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique va bientĂŽt sâapercevoir que la vĂ©ritĂ© nâest pas une folie, ni lâignorance une bĂ©nĂ©diction. Partout et de plus en plus, les chrĂ©tiens cherchent fiĂ©vreusement Ă apprendre la relation vĂ©ritable qui existe entre les habitants de la JudĂ©e de lâĂ©poque de JĂ©sus-Christ, et les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s du monde actuel. Les chrĂ©tiens veulent que la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique leur dise tout ce quâelle sait sur le contexte racial, religieux, national et culturel des Juifs » du monde actuel prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s et sur quelles bases la hiĂ©rarchie ecclĂ©siastique se fonde pour affirmer que le contexte racial, religieux, national et culturel des Juifs » dâaujourdâhui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s est le mĂȘme que celui que connaissait JĂ©sus-Christ pendant Sa vie. Les chrĂ©tiens qui sâinforment savent dĂ©sormais que le mythe selon lequel les Juifs » dâaujourdâhui prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s seraient les descendants des JudĂ©ens parmi lesquels vivait JĂ©sus, nâest plus dĂ©sormais quâun mythe explosĂ© »âŠLes chrĂ©tiens comprennent Ă©galement de mieux en mieux pourquoi les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ont dĂ©pensĂ© pendant trois siĂšcles des sommes colossales pour forger la fiction selon laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », dans le sens dĂ©rivĂ© du mot. Les chrĂ©tiens sont de plus en plus conscients de tous les avantages Ă©conomiques et politiques que les Juifs » ont directement tirĂ© de cette fiction selon laquelle JĂ©sus Ă©tait juif », dans le sens dĂ©rivĂ© du terme. Les chrĂ©tiens ont compris que les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s voulaient ainsi nous faire croire quâils avaient de nombreuses affinitĂ©s avec JĂ©sus-Christ, le fondateur de notre religion ; et ils cherchent en permanence Ă entretenir cette fiction dans nos pratiquait-Il la forme de religion qui allait donner la judaĂŻsme ?PrĂ©tendre que JĂ©sus Ă©tait juif » dans le sens oĂč il aurait professĂ© une forme de religion voisine du judaĂŻsme actuel, est une fiction des plus blasphĂ©matoires. Si pour ĂȘtre Juif » Ă cette Ă©poque comme Ă la nĂŽtre, la pratique du judaĂŻsme est une condition nĂ©cessaire, alors il est bien Ă©vident que JĂ©sus-Christ nâĂ©tait pas Juif ». JĂ©sus dĂ©testait et condamnait la forme de culte religieux qui se pratiquait en JudĂ©e Ă son Ă©poque, et qui est aujourdâhui connue et pratiquĂ©e sous le nom de judaĂŻsme ». Cette pratique religieuse se faisait alors connaĂźtre sous le nom de pharisaĂŻsme ».Le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive institution que lâon dĂ©signe souvent comme le Vatican du judaĂŻsme », est lâauteur de lâouvrage Les Pharisiens, Mouvement religieux, contexte sociologique de leur apparition, titre qui est devenu un classique dans le monde entier. le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous dit Le pharisaĂŻsme devint le talmudisme, le talmudisme devint le rabbinisme mĂ©diĂ©val, et le rabbinisme mĂ©diĂ©val devint le rabbinisme moderne. Mais au travers de tous ces changements de nom lâesprit des anciens pharisiens est demeurĂ© le mĂȘme De Palestine jusquâen Babylonie, de Babylonie jusquâen Afrique du Nord, puis en Italie, en Espagne, en France, et en Allemagne, puis de lĂ , en Pologne, en Russie, et dans toute lâEurope orientale, lâancien pharisaĂŻsme a continuĂ© son voyage, ce qui dĂ©montre son importance en tant que lâune des grandes religions du monde. »Dans ce grand classique, le distinguĂ© Rabbin Louis Finkelstein nous retrace toute lâhistoire du judaĂŻsme, en partant du pharisaĂŻsme pratiquĂ© en JudĂ©e au temps de JĂ©sus. Le rabbin Louis Finkelstein y confirme ce que nous disait dĂ©jĂ lâĂ©minent rabbin Adolphe Moses, dans son plus grand classique Le Yahvisme, et autres discours, rĂ©digĂ© en collaboration avec le cĂ©lĂšbre rabbin H. G. Enlow, et publiĂ© en 1903 par la section de Louisville du Conseil des Femmes IsraĂ©lites. Dans cet ouvrage, le rabbin Adolphe Moses nous dĂ©clare Parmi tous les malheurs qui sont advenus, celui dont les consĂ©quences furent les plus regrettables, est lâinvention du mot judaĂŻsme ».Pire encore, les Juifs eux-mĂȘmes en sont venus Ă dĂ©signer leur propre religion sous le nom de judaĂŻsme », alors que ni dans la Bible, ni dans les Ă©crits postĂ©rieurs, ni dans le Talmud, il nâest fait une seule fois mention de ce terme. La Bible parle de la Torah Yahweh, de lâinstruction », ou de la loi morale rĂ©vĂ©lĂ©e par Yahweh », ou encore en dâautres lieux de Yirath Yahweh la crainte de Yahweh ». Ce sont ces appellations qui furent employĂ©es au cours des Ăąges au sein de notre religion. Toutefois, pour la distinguer du christianisme et de lâislam, les philosophes juifs la dĂ©signent parfois comme la foi des Juifs ».Mais câest Flavius JosĂšphe qui a inventĂ© le terme de judaĂŻsme pour pourvoir Ă lâinstruction des Grecs et des Romains sur cette question, et de maniĂšre Ă distinguer cette religion de lâhellĂ©nisme. Par le mot hellĂ©nisme », il faut comprendre toute la civilisation, y compris la langue, la poĂ©sie, la religion, lâart, la science, les maniĂšres, la coutume, et les institutions , qui sâĂ©taient rĂ©pandues depuis la GrĂšce, foyer originel, jusquâaux vastes rĂ©gions dâEurope, dâAsie et dâ sĂ»r, les chrĂ©tiens sâemparĂšrent avidement du mot, pendant que les Juifs, qui dĂ©testaient profondĂ©ment le traĂźtre Flavius JosĂšphe, refusaient tout simplement de lire ses Ă©crits. Câest pourquoi le terme de judaĂŻsme », inventĂ© par Flavius JosĂšphe, resta complĂštement inconnu des Juifs, et ne fut utilisĂ© par eux quâĂ une Ă©poque relativement rĂ©cente ; aprĂšs que les Juifs eussent commencĂ© Ă lire des ouvrages chrĂ©tiens. Câest pourquoi ils se mirent eux aussi, Ă appeler leur religion âjudaĂŻsmeâ. »Citations des deux plus grands spĂ©cialistes mondiaux sur ce sujet, Ă©tablissent Ă la fois que le judaĂŻsme » ne fut jamais le nom dâaucun culte religieux pratiquĂ© en JudĂ©e aux temps de JĂ©sus Flavius JosĂšphe vivant au premier siĂšcle de notre Ăšre, et que le culte pratiquĂ© aujourdâhui par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s descend directement du pharisaĂŻsme. Je nâinvente rien, câest exactement ce que nous apprend le rabbin Louis Finkelstein, qui prĂ©side le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive, et câest ce que vous diront Ă©galement tous les spĂ©cialistes de cette pharisaĂŻsme de JudĂ©e, au temps de JĂ©sus-Christ, est une pratique religieuse se basant essentiellement sur les enseignements qui allaient constituer le Talmud⊠Pour ceux qui pratiquent le judaĂŻsme, le Talmud reprĂ©sente Ă peu prĂšs la mĂȘme chose que ce que la Grande Charte, la DĂ©claration dâIndĂ©pendance, la Constitution, et le Bill of Rights, reprĂ©sentent pour nous. Le Talmud est sur un mĂȘme piĂ©destal pour ceux qui professent le en revanche, le Talmud exerce une vĂ©ritable dictature sur la vie des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s ; une dictature qui pourrait avoir Ă©tĂ© empruntĂ©e au totalitarisme le plus noir. Les rabbins ne font dâailleurs guĂšre dâefforts pour dissimuler le contrĂŽle quâils exercent sur la vie intime des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s.Cette autoritĂ© va bien au-delĂ des limites habituelles du domaine spirituel. Ă ma connaissance, leur pouvoir sur les gens ne connaĂźt pas dâĂ©gal. Le rĂŽle jouĂ© par le Talmud dans le judaĂŻsme tel quâil est pratiquĂ© aujourdâhui, est officiellement dĂ©fini par le trĂšs rĂ©vĂ©rĂ© rabbin Morris N. Kertzer, le Directeur du DĂ©partement des Relations Inter Religieuses, au sein du ComitĂ© IsraĂ©lite dâAmĂ©rique du Nord, et qui prĂ©side Ă©galement lâAssociation des AumĂŽniers IsraĂ©lites des Forces ArmĂ©es des Ătats-Unis. Le rabbin Morris N. Kertzer, qui est actuellement le spĂ©cialiste le plus qualifiĂ© du judaĂŻsme, nous dit Le Talmud est constituĂ© de 63 livres. Ces livres sont la compilation dâĂ©crits lĂ©gislatifs, Ă©thiques et historiques, rĂ©digĂ©s par les anciens rabbins. Il a Ă©tĂ© Ă©crit cinq siĂšcles aprĂšs la naissance de JĂ©sus. Câest un recueil de lois et de traditions. Il reprĂ©sente le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive, et câest le livre qui est utilisĂ© pour la formation des rabbins. »Eh bien, mon cher Docteur Goldstein, compte tenu de ce jugement trĂšs officiel sur lâimportance du Talmud dans la pratique du judaĂŻsme actuel, peut-ĂȘtre y aurait-il un intĂ©rĂȘt quelconque Ă ce que les chrĂ©tiens se demandassent ce quâil peut bien contenir, ne croyez-vous pas ?Quâest-ce que le Talmud ?Mon cher Docteur Goldstein, si vous rassembliez tous les Ă©crits de tous les auteurs de tous les temps, qui de prĂšs ou de loin mentionnĂšrent la personne de JĂ©sus-Christ, ou firent allusion aux chrĂ©tiens ou Ă la foi chrĂ©tienne, vous ne trouverez jamais de plus exĂ©crables insultes, ni de blasphĂšmes plus odieux que ceux qui jalonnent les pages de ces 63 livres du Talmud, texte qui est, nous dit-on, le code juridique sur lequel se base la loi religieuse juive », tout comme le livre qui est utilisĂ© pour la formation des rabbins ». La lecture du Talmud dans le texte, va vous ouvrir les yeux comme jamais ils ne lâont Ă©tĂ© auparavant. Le Talmud couvre dâopprobre la personne de mots que vous allez lire sont fonciĂšrement indĂ©cents, obscĂšnes, vils, et orduriers, et je vous en prĂ©sente mes excuses par avance, mais ce sont des citations mot pour mot de la traduction intĂ©grale officielle du Talmud. PrĂ©parez-vous Ă une 1935, les grands pontes du rabbinisme international, dĂ©cidĂšrent pour la premiĂšre fois dans toute lâhistoire du judaĂŻsme de publier une traduction intĂ©grale officielle et annotĂ©e des 63 livres du Talmud dans une langue profane, et ils choisirent bien Ă©videmment la langue anglaise. Quelle force a bien pu les conduire Ă commettre une telle faute stratĂ©gique, cela restera lâun des mystĂšres de lâhistoire humaine⊠Peut-ĂȘtre sous-estimĂšrent-ils tout simplement le risque, et quâils nâentreprirent cette traduction que parce quâun si grand nombre de Juifs » de la nouvelle gĂ©nĂ©ration prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels sont absolument incapables de comprendre les diffĂ©rentes langues utilisĂ©es dans la rĂ©daction originale du traduction intĂ©grale officielle et annotĂ©e du Talmud en langue anglaise parut en 1935 chez Soncino Press. Elle a toujours Ă©tĂ© dĂ©signĂ©e depuis comme lâĂdition Soncino du Talmud. Elle ne fut Ă©videmment tirĂ©e quâĂ un nombre trĂšs restreint dâexemplaires et ne fut pas non plus proposĂ©e Ă la vente pour le grand public. Jâai eu la chance dâavoir accĂšs Ă un exemplaire de cette Ă©dition pendant de nombreuses annĂ©es ; car aujourdâhui tous les exemplaires sont devenus de prĂ©cieux objets de mon cher Docteur Goldstein, jâai bien peur de ne plus pouvoir attendre pour faire place ici, Ă des citations scrupuleusement exactes de lâĂdition Soncino. Mes commentaires pour en souligner lâĂ©normitĂ© seront superflus, vous le verrez trĂšs vite. Je nâĂ©prouve pas trop de scrupules Ă vous faire parvenir de telles obscĂ©nitĂ©s par la poste, car lâĂdition Soncino du Talmud ne figure pas sur la liste des envois interdits, je me suis renseignĂ© auprĂšs du bureau fĂ©dĂ©ral. Quoi quâil en soit, je vous prĂ©sente Ă nouveau mes excuses pour ces termes, que la nĂ©cessitĂ© seule me force Ă mettre sous vos yeux. Je pense que vous allez me 55b-55a Quâa-t-il Ă©tĂ© dit par-lĂ â Rab a dit âLa pĂ©dĂ©rastie avec un enfant qui a moins de neuf ans, nâest pas Ă considĂ©rer comme la pĂ©dĂ©rastie avec un enfant plus ĂągĂ©.â Samuel a dit âLa pĂ©dĂ©rastie avec un enfant qui a moins de trois ans, nâest pas Ă considĂ©rer de la mĂȘme maniĂšre que la pĂ©dĂ©rastie avec un enfant plus ĂągĂ©.â Quelle est la base de leur dĂ©saccord ? â Rab soutient que seul un sujet passif qui pourrait ĂȘtre capable dâavoir des rapports sexuels en tant que sujet actif, peut rendre coupable le sujet actif ; tandis quâun enfant incapable dâĂȘtre un sujet actif, ne peut ĂȘtre considĂ©rĂ© comme le sujet passif dâun acte de pĂ©dĂ©rastie Samuel soutient quant Ă lui que lâĂcriture dit âTu ne coucheras pas avec un homme comme on couche avec une femmeâIl a donc Ă©tĂ© enseignĂ©, conformĂ©ment Ă lâavis de Rab, que le crime de pĂ©dĂ©rastie nâest qualifiĂ© quâĂ partir de neuf ans et un jour ; mais celui qui commet la bestialitĂ©, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, ou bien une femme qui fait en sorte dâĂȘtre abusĂ©e dâune maniĂšre bestiale, que ce soit par les voies naturelles ou par les voies qui ne sont pas naturelles, est passible de chĂątiment. »On se place ici du point de vue du sujet passif de la sodomie. Ainsi quâil a Ă©tĂ© Ă©tabli plus haut, la culpabilitĂ© est encourue par le sujet actif de la sodomie, mĂȘme si le sujet passif est un mineur rappel moins de treize ans. Cependant, une nouvelle distinction va ĂȘtre faite maintenant pour les sujets passifs ayant moins de treize ansRab place le minimum Ă neuf ans ; mais si la sodomie est pratiquĂ©e sur un enfant plus jeune, aucune culpabilitĂ© nâest encourue. Samuel, lui, fait de trois ans le minimum. Ă neuf ans, un enfant mĂąle a atteint la maturitĂ© XVIII, depuis âUn enfant mĂąle ĂągĂ© de neuf ans et un jour qui commetâŠâ Nous observons ainsi trois clauses distinctes dans cette Baraitha. La premiĂšre âUn enfant mĂąle ĂągĂ© de neuf ans et un jourâ concerne le sujet passif de la pĂ©dĂ©rastie, la peine est alors encourue par le sujet actif adulte. Tel doit ĂȘtre le sens profond ici, car dâune part, le sujet actif nâest jamais explicitement dĂ©signĂ© comme Ă©tant de sexe masculin, cela doit se comprendre spontanĂ©ment, exactement comme on le comprend spontanĂ©ment lorsque la Bible dit âTu ne coucheras pas avec un hommeâŠâ oĂč seul le sexe du sujet actif est stipulĂ© ; et dâautre part, si lâĂąge de rĂ©fĂ©rence avait Ă©tĂ© celui du sujet actif, la culpabilitĂ© Ă©tant alors encouru par un sujet passif adulte, pourquoi alors avoir fait un cas prĂ©cis du crime de pĂ©dĂ©rastie ? Puisque dans tout crime dâinceste commis par lâenfant, le sujet adulte passif nâencourt aucune culpabilitĂ©, Ă moins bien sĂ»r, que lâenfant ait atteint lâĂąge de neuf ans et un jour. Câest pourquoi cette Baraita a retenu lâaffirmation de Rab selon laquelle le sujet adulte est condamnable, quand le sujet passif a plus de neuf ans et un jour. »Avant de continuer, je voudrais Ă©galement attirer votre attention sur un autre article. Confirmant la dĂ©claration officielle du rabbin Morris N. Kertzer. Le New York Times du 20 mai de cette annĂ©e a publiĂ© un article intitulĂ© Les rabbins projettent de rĂ©unir des fonds pour la crĂ©ation de deux chaires » ;Lâarticle commence de la façon suivante Annonce spĂ©ciale pour le New York Times, Uniontown, Pa. â Un projet pour collecter 500 000 $ pour la crĂ©ation de deux chaires au SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive dâAmĂ©rique a Ă©tĂ© annoncĂ© aujourdâhui lors de la 54e convention annuelle de lâAssemblĂ©e des Rabbins dâAmĂ©rique. Les deux chaires porteront ce nom CHAIRES LOUIS GINSBERG, CONNAISSANCE DU TALMUD. »Ceci pour apporter une preuve supplĂ©mentaire que le Talmud nâest pas restĂ© lettre morte pour la formation des rabbins dâaujourdâhui. En voulez-vous une autre confirmation ?La voici les spĂ©cialistes mondiaux du Talmud confirment que lâĂdition Soncino est une traduction trĂšs fidĂšle et quâelle suit presque mot Ă mot le texte original. Dans lâHistoire du Talmud, Ă©crite en collaboration avec le cĂ©lĂšbre Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson dĂ©clare encore Comme conclusion de ce premier volume, nous voudrions inviter le lecteur Ă jeter un coup dâĆil en arriĂšre sur tout le passĂ© du Talmud, il verra que non seulement le Talmud nâa pas Ă©tĂ© dĂ©truit, mais que pas mĂȘme une seule lettre nâen est tombĂ©e, et quâaujourdâhui il sâĂ©panouit Ă un degrĂ© jamais rencontrĂ© dans toute son histoire. Le Talmud est lâune des merveilles du monde. Ă travers les 20 siĂšcles de son existence il a survĂ©cu dans son intĂ©gralitĂ©, et non seulement ses ennemis nâont pas rĂ©ussi Ă en dĂ©truire une seule ligne, mais encore ils nâont pas mĂȘme Ă©tĂ© capables dâen diminuer le rayonnement Ă une Ă©poque Talmud domine toujours les esprits dâun peuple entier, qui vĂ©nĂšre son contenu comme vĂ©ritĂ© divine . Des Ă©coles destinĂ©es Ă lâenseignement du Talmud apparaissent et se multiplient dans presque chaque ville oĂč IsraĂ«l est prĂ©sent, et particuliĂšrement dans ce pays oĂč des millions sont collectĂ©s pour les caisses de deux universitĂ©s le Hebrew Union College de Cincinnati, et le SĂ©minaire de ThĂ©ologie Juive dâAmĂ©rique de New York, et dans lesquelles lâobjet dâĂ©tude principal nâest autre que le Talmud. Il existe Ă©galement dans notre ville des maisons dâĂ©tude Jeshibath pour apprendre le Talmud dans les quartiers de lâEast Side, et oĂč de nombreux jeunes Ă©tudient quotidiennement le Talmud. »Cette vĂ©ritĂ© divine » que vĂ©nĂšre tout un peuple » et de laquelle pas une seule lettre nâest tombĂ©e », et qui aujourdâhui sâĂ©panouit Ă un degrĂ© jamais rencontrĂ© dans toute son histoire », sâillustre parfaitement par cette nouvelle citation mot pour mot SANHĂDRIN, 55b Une petite fille de trois ans et un jour peut ĂȘtre acquise en mariage par coĂŻt, en cas de mort de son mari et si elle a un rapport sexuel avec le frĂšre de son mari, elle devient Ă lui. Une telle fille est considĂ©rĂ©e comme femme mariĂ©e, on peut se rendre coupable dâadultĂšre Ă travers elle ; car elle peut souiller lâhomme qui a des rapports sexuels avec elle, et celui-ci pourrait Ă son tour souiller ce sur quoi il se couche, comme un vĂȘtement quâon se passe cas de blennorragie. »KETHUBOTH, 11a-11b Rabba a dit que ça voulait dire ceci âQuand un homme adulte a des rapports avec une petite fille, ce nâest rien, car quand la fille est plus petite que dans ce cas-lĂ , câest comme si on lui mettait le doigt dans lâĆil ; mais quand un petit garçon a des rapports avec une femme adulte, câest un cas Ă©quivalent Ă celui oĂč â une fille est pĂ©nĂ©trĂ©e par un morceau de boisâ.Lit., âça disait ceciâLit., âquâiciâ, câest-Ă -dire, quand elle a moins de trois ans. Les larmes reviennent toujours dans les yeux, de mĂȘme, la virginitĂ© dâune petite fille qui nâa pas encore trois ans revient toujours. »ABODAH ZARAH, 36b-37a Rabbi Naham ben Isaac a dit âAu sujet des enfants paĂŻens, ils dĂ©crĂ©tĂšrent que les rapports sexuels pourraient causer une souillure par lâĂ©mission de leur sperme, et quâun enfant israĂ©lite ne devait donc pas prendre lâhabitude de commettre des actes de pĂ©dĂ©rastie avec ces animaux. Ă partir de quel Ăąge un enfant paĂŻen dĂ©clenche-t-il la souillure par lâĂ©mission de son sperme ? Ă partir de neuf ans et un jour. DĂšs lors quâil est capable de lâacte sexuel, il souille en rĂ©pandant son sperme.â Rabina a dit âIl faut donc conclure quâune petite fille paĂŻenne souille depuis lâĂąge de trois ans et un jour, attendu quâelle est alors capable de participer Ă lâacte sexuel, elle peut donc parfaitement souiller par lâintermĂ©diaire de ses humeurs vaginale.âBien que lâenfant paĂŻen ne souffrit dâaucun Ă©coulement sĂ©minal. »YEBAMOTH, 55b Ne sont pas passibles, les rapports sexuels avec une femme mariĂ©e effectuĂ©s avec un membre mou. Ce qui nous permet de conserver une interprĂ©tation en accord avec ceux qui disent que si un homme a des rapports avec un parent Ă lui, parent faisant partie des proches quâil nâa pas le droit de toucher aprĂšs leurs morts, mais que ce rapport sexuel ait Ă©tĂ© effectuĂ© avec un membre mou, cet homme est innocentĂ© Mais que peut-on dire maintenant Ă propos de ceux qui disent que pour un tel acte, un homme est quand mĂȘme coupable ? â Ceux-lĂ parlent du cas oĂč le rapport sexuel a lieu avec la morte elle-mĂȘme. Car il a Ă©tĂ© prĂ©sumĂ© quâune femme, mĂȘme aprĂšs sa mort, appartient toujours le cas Ă©chĂ©ant Ă la catĂ©gorie des parents quâil est interdit de toucher on se rend donc coupable en ayant des rapports sexuels avec son corps, car câest toujours une femme mariĂ©e. Mais dans le cas dâune parente vivante, on est innocentĂ© si le rapport sexuel est fait avec un membre aucune fĂ©condation ne peut avoir 18a, SanhĂ©drinLa morte Ă©tant une femme Ă LEV. XXI, 2OĂč sont Ă©numĂ©rĂ©s les parents avec lesquels un prĂȘtre a le droit de se souiller Ă lâoccasion de leurs morts. »YEBAMOTH, 59b Quand Rabbi Dimi arriva il raconta ceci âIl est arrivĂ© un jour Ă Haitalu que pendant quâune jeune femme balayait le sol, un chien du village la couvrit pĂ©nĂ©tra par lâarriĂšre, mais Rabbi lui permit dâĂ©pouser un prĂȘtre.â Samuel a dit âMĂȘme un Grand PrĂȘtre !â »De Palestine, quand il arriva de Palestine Ă babylonienne pour Aitulu », qui correspond Ă la ville moderne dâAiterun, au nord-ouest de maison âOu âun gros chien de chasseâ Rashi, ou âun chien fĂ©roceâ Jast., ou âun petit chien sauvageâ Aruk.Un cas de rapport sexuel par les voies qui ne sont pas naturelles. »Mon cher Docteur Goldstein, aprĂšs que vous ayez personnellement pris connaissance de ces citations rigoureusement fidĂšles du Talmud dans lâĂdition Soncino â citations que jâai Ă peine choisies parmi leurs innombrables sĆurs â pensez-vous toujours que le Talmud soit le genre de livre » duquel JĂ©sus-Christ a puisĂ© les enseignements qui lui ont permis de rĂ©volutionner le monde » ? Vous avez lu ici des citations mot pour mot de la traduction anglaise annotĂ©e du Talmud, et bien dâautres sujets passionnants sont couverts dans ces 63 livres qui constituent le Talmud. Pour lire ces citations, il faut ĂȘtre bien accrochĂ© nâest-ce pas ? Je suis surpris que la Poste des Ătats-Unis ne mette pas le Talmud sur la liste des ouvrages interdits Ă lâenvoi ; jâai hĂ©sitĂ© Ă vous les du Talmud dans le judaĂŻsme actuelle Talmud est inculquĂ© Ă leurs enfants dĂšs quâils sont capables de lire ; et si le Talmud est le livre utilisĂ© pour la formation des rabbins », il est Ă©galement le livre qui sert Ă former lâesprit de la masse des Juifs » dĂšs leur plus jeune Ăąge. le trĂšs cĂ©lĂšbre rabbin Docteur Isaac M. Wise, Michael Rodkinson dĂ©clare Le Juif moderne est le produit du Talmud. »Origine des Juifs » actuels prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s telsMon cher Docteur Goldstein, sans une connaissance complĂšte et prĂ©cise de lâorigine et de lâhistoire des juifs » dâEurope orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, il est tout Ă fait impossible pour vous, ou pour nâimporte qui, de comprendre vĂ©ritablement lâinfluence nĂ©faste que le Talmud, et notamment la priĂšre du Kol Nidre, ont exercĂ©e sur lâhistoire du monde. Ces deux facteurs trĂšs peu connus, sont respectivement le moyeu et les rayons, de cette grande roue qui dĂ©ferle allĂšgrement vers une domination complĂšte de la cher Docteur Goldstein, je pense que vous allez ĂȘtre aussi Ă©tonnĂ© que le furent les 150 millions de chrĂ©tiens de ce pays, lorsquâil y a quelques annĂ©es, jâai Ă©lectrisĂ© la nation avec mes premiĂšres rĂ©vĂ©lations sur lâorigine et lâhistoire des Juifs » dâEurope orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels. Ces rĂ©vĂ©lations mâavaient coĂ»tĂ© de nombreuses annĂ©es de recherche. Et mes recherches Ă©tablissent sans lâombre dâun doute, et Ă lâopposĂ© de la croyance gĂ©nĂ©ralement rĂ©pandue chez les chrĂ©tiens, queles Juifs » dâEurope orientale ne furent Ă aucun moment de leur histoire les lĂ©gendaires dix tribus perdues dâIsraĂ«l », comme ils se plaisent Ă le raconter. Ce mensonge historique est maintenant solidement recherches implacables ont montrĂ© que les Juifs » dâEurope orientale ne peuvent lĂ©gitimement se rĂ©clamer dâun seul ancĂȘtre ayant mis un pied sur le sol de Palestine pendant lâĂšre biblique. La recherche a Ă©galement rĂ©vĂ©lĂ© que les Juifs » dâEurope orientale ne furent jamais des SĂ©mites », ne sont pas aujourdâhui des SĂ©mites », ni ne pourront jamais ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des SĂ©mites », mĂȘme avec toute lâimagination quâon voudra. Une enquĂȘte exhaustive rejette de maniĂšre irrĂ©futable la croyance gĂ©nĂ©ralement admise selon laquelle les Juifs » dâEurope orientale sont le peuple Ă©lu », suivant lâexpression consacrĂ©e de nos prĂ©dicateurs. La recherche dĂ©nonce cette thĂšse comme la plus fantastique des fabrications de lâ cher Docteur Goldstein, peut-ĂȘtre allez-vous pouvoir mâexpliquer pourquoi, comment, et par qui, lâorigine et lâhistoire des Khazars et du Royaume de Khazarie, ont Ă©tĂ© si bien cachĂ©es pendant tant de siĂšcles ? Quelle mystĂ©rieuse force a Ă©tĂ© capable pendant une multitude de gĂ©nĂ©rations, de rayer les origines et lâhistoire des Khazars de tous les livres dâhistoire, et ce dans tous les pays du monde, alors que lâhistoire des Khazars et de leur royaume repose sur des faits historiques incontestables ?Pendant lâannĂ©e 1948, au Pentagone Washington, jâavais lâoccasion de mâadresser Ă une large assemblĂ©e dâofficiers du plus haut rang de lâArmĂ©e des Ătats Unis dâAmĂ©rique ; principalement des officiers de la branche G2 du service des Renseignements Militaires, qui travaillaient sur la situation gĂ©opolitique trĂšs explosive en Europe orientale et au Moyen-Orient. Je leur ai donc expliquĂ© en dĂ©tail lâorigine des Khazars et celle de leur royaume mĂ©diĂ©val qui Ă©tait dâune taille considĂ©rable. Je pensais dĂ©jĂ Ă lâĂ©poque que sans une connaissance claire et dĂ©taillĂ©e de ce sujet, il nâest pas possible de comprendre ou dâĂ©valuer correctement ce qui sâest mis en place dans le monde depuis 1917, lâannĂ©e de la rĂ©volution bolchevique en Russie. La connaissance des Khazars est Ă la clĂ© de ce la conclusion de ma confĂ©rence, un Lieutenant-Colonel qui sâĂ©tait rĂ©vĂ©lĂ© trĂšs alerte, mâinforma quâil dirigeait le dĂ©partement dâhistoire dâune des Ă©coles dâenseignement supĂ©rieur les plus grandes et les plus rĂ©putĂ©es de tous les Ătats-Unis ; il y enseignait lâhistoire depuis dĂ©jĂ 16 ans. Il avait Ă©tĂ© rĂ©cemment rappelĂ© Ă Washington pour prolongation de son service dans les forces armĂ©es. Ă ma grande surprise, il mâinforma quâau cours de toute sa carriĂšre de professeur dâhistoire, il nâavait jamais entendu le mot Khazar ». Cela peut vous donner une idĂ©e, mon cher Docteur Goldstein, de lâefficacitĂ© de cette mystĂ©rieuse puissance qui est parvenu Ă masquer lâorigine et lâhistoire des Khazars, afin de dissimuler au monde lâorigine vĂ©ritable et lâhistoire vĂ©ritable des Juifs » dâEurope le Xe siĂšcle, le royaume des Khazars avait dĂ©jĂ Ă©tĂ© rĂ©duit par les Russes Ă la dimension dâenviron 1 300 000 kmÂČ. Mais comme vous pouvez le constater sur la carte de lâEncyclopaedia Judaica, sa surface au Xe siĂšcle Ă©tait encore bien plus grande que celle dâaucune autre nation. La population du royaume Khazar Ă©tait composĂ©e pour la plus grande partie de Khazars, et pour le reste, par les quelque vingt-cinq nations dâagriculteurs pacifiques, qui peuplaient ces terres dâapproximativement 1 600 000 kmÂČ, avant quâelles ne soient envahies par les Khazars. Au premier siĂšcle avant JĂ©sus-Christ, les Khazars, partis de leur mĂšre patrie en Asie, ont envahi lâEurope orientale. Ils ont envahi lâEurope Orientale par la route naturelle des steppes, entre les Monts de lâOural au Nord et la mer Caspienne au Sud. Les trĂšs belliqueux Khazars nâĂ©prouvĂšrent guĂšre de difficultĂ©s Ă soumettre les vingt-cinq nations de paysans pacifiques, qui occupaient approximativement 1 600 000 kmÂČ en Europe orientale. En une pĂ©riode relativement courte, les Khazars Ă©tablirent le plus grand et le plus puissant royaume dâEurope, et probablement le plus riche. Les Khazars Ă©taient des paĂŻens, lorsquâils envahirent lâEurope orientale. Leur pratique religieuse Ă©tait un mĂ©lange du culte phallique, et dâautres formes de cultes idolĂątriques pratiquĂ©s en Asie par les nations paĂŻennes. De tels cultes se sont maintenus en Khazarie jusquâau VIIe siĂšcle. Les excĂšs sexuels que pratiquaient les Khazars pour cĂ©lĂ©brer » leurs cultes religieux les amenĂšrent Ă un degrĂ© de dĂ©gĂ©nĂ©rescence morale que leur roi ne pouvait plus tolĂ©rer. Au VIIe siĂšcle, le roi Bulan dĂ©cida dâabolir la pratique du culte phallique, ainsi que celle des autres cultes idolĂątriques, et choisit lâune des trois religions monothĂ©istes quâil connaissait trĂšs peu, pour religion dâĂ©tat. AprĂšs avoir fait venir des reprĂ©sentants des trois religions monothĂ©istes, le roi Bulan rejeta le christianisme et lâislam, et choisit comme future religion dâĂ©tat le culte religieux connu Ă lâĂ©poque sous le nom de talmudisme », et aujourdâhui connu et pratiquĂ© sous le nom de judaĂŻsme ». Cet Ă©vĂ©nement est attestĂ© par de nombreux roi Bulan et les 4 000 nobles du systĂšme fĂ©odal de Khazarie furent rapidement convertis par des rabbins importĂ©s de Babylonie Ă cet effet. Le culte phallique et les autres formes dâidolĂątrie furent dĂšs lors interdits. Les rois Khazars invitĂšrent un grand nombre de rabbins pour ouvrir des synagogues et des Ă©coles, afin dâinstruire la population dans la nouvelle religion. Le judaĂŻsme Ă©tait devenu la religion dâĂ©tat. Ces Khazars convertis furent la premiĂšre population de juifs » en Europe orientale. Les juifs » dâEurope orientale, ne sont rien dâautre que les descendants directs des Khazars qui se sont convertis en masse au talmudisme au VIIe siĂšcle de notre Ăšre. Le plus grand historien des origines et de lâhistoire des juifs » dâEurope orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, Ă©tait le Professeur H. Graetz, lui-mĂȘme un juif ». Dans sa cĂ©lĂšbre Histoire des Juifs, le Professeur Graetz indique que lorsque les Juifs » des autres pays, entendirent des rumeurs sur lâexistence de juifs » dans le royaume de Khazarie, ils crurent que ces Khazars Ă©taient les dix tribus perdues dâIsraĂ«l ». Ces rumeurs furent Ă lâorigine de la lĂ©gende selon laquelle la Palestine Ă©tait la patrie ancestrale » des Khazars, qui nâĂ©taient en rĂ©alitĂ© que des barbares asiatiques, convertis de fraĂźche date. Quand le roi Bulan fut convertit au VIIe siĂšcle, il dĂ©crĂ©ta que les caractĂšres hĂ©breux quâil avait vus dans le Talmud et dans dâautres documents hĂ©breux, seraient dorĂ©navant adoptĂ©s comme lâalphabet du langage khazar. Les caractĂšres hĂ©breux furent donc tant bien que mal utilisĂ©s pour transcrire phonĂ©tiquement le langage des Khazars. Les Khazars adoptĂšrent les lettres de la langue hĂ©braĂŻque, simplement afin de se doter dâun moyen de transmettre leurs discours par Ă©crit. Cette dĂ©cision nâest aucunement lâindice dâune origine raciale commune avec les HĂ©breux, pas plus quâelle ne fut motivĂ©e par des raisons politiques ou religieuses. Les nations europĂ©ennes occidentales qui nâavaient pas dâalphabet pour transcrire leurs langues parlĂ©es, adoptĂšrent lâalphabet latin dans des circonstances analogues. AprĂšs lâinvasion de lâEurope occidentale par les Romains, la culture et la civilisation romaines furent introduites dans ces territoires. Câest la raison pour laquelle lâalphabet latin est toujours employĂ© dans le français, lâespagnol, lâanglais, le suĂ©dois, ainsi que par de nombreuses autres langues europĂ©ennes. Certaines de ces langues sont Ă©trangĂšres les unes aux autres, et pourtant elles utilisent toutes le mĂȘme alphabet. Les Romains apportĂšrent cet alphabet avec leur culture Ă ces nations non civilisĂ©es, exactement comme les rabbins apportĂšrent lâalphabet hĂ©breux de Babylonie aux yiddish Depuis la disparition du royaume khazar, la langue khazare est connue sous le nom de yiddish ». Depuis environ six siĂšcles, les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s dâEurope orientale, se dĂ©signent dans tous les pays oĂč on les retrouve aprĂšs la dislocation de leur royaume, comme Ă©tant de nationalitĂ© yiddish ». Ils dĂ©signent Ă©galement leur langue commune comme Ă©tant le yiddish ». Comme vous le savez, mon cher Docteur Goldstein, il existe aujourdâhui Ă New York un grand nombre de journaux yiddish », des théùtres yiddish », et beaucoup dâautres institutions culturelles pour les Juifs » dâEurope orientale, qui sont publiquement dĂ©signĂ©es ou rĂ©pertoriĂ©es sous le mot yiddish ».Avant quâelle ne commence Ă ĂȘtre connue sous le nom de langue yiddish », la langue maternelle des Khazars, dont le vocabulaire Ă©tait assez limitĂ©, sâest accru de nombreux mots nouveaux, suivant que les circonstances le rĂ©clamaient. Ces mots furent piochĂ©s dans le vocabulaire des nations avoisinantes, avec lesquelles les Khazars avaient des relations politiques, sociales ou commerciales. Toutes les langues augmentent leur vocabulaire de cette façon. Les Khazars adaptĂšrent donc Ă leurs besoins des mots issus de lâallemand, du slavon, et du langue yiddish » nâest pas du tout un dialecte de lâallemand. Beaucoup de personnes sont portĂ©es Ă le croire uniquement parce que le yiddish a empruntĂ© un trĂšs grand nombre de mots Ă lâallemand. Le yiddish » est lâappellation moderne de lâancienne langue maternelle des mĂȘme, le yiddish ne doit pas ĂȘtre confondu avec lâhĂ©breu, parce que ces langues se servent toutes deux du mĂȘme alphabet. Il nây a pas un seul mot en yiddish, qui existait aussi en hĂ©breu. Ainsi que je lâai dĂ©clarĂ© auparavant, ces deux langues sont aussi hĂ©tĂ©rogĂšnes que le sont par exemple le suĂ©dois et lâespagnol, qui utilisent pourtant le mĂȘme alphabet yiddish nâa jamais eu de connotation religieuse ou sacrĂ©e, mĂȘme sâil utilise les lettres hĂ©braĂŻques comme alphabet. Yiddish » ne devrait donc pas ĂȘtre confondu avec Juif » et judaĂŻsme »⊠Or câest pourtant toujours le destruction du royaume de Khazarie, et le devenir de sa population Pendant les Xe, XIe, XIIe et XIIIe siĂšcles, la nation russe en pleine expansion a grignotĂ© progressivement le royaume khazar, son voisin direct au sud. La conquĂȘte du royaume khazar par les Russes fournit Ă lâhistoire lâexplication sur la concentration importante et brutale de Juifs » en Russie, au XIIIe siĂšcle. AprĂšs la destruction du royaume khazar, les nombreux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s de Russie, et de toute lâEurope orientale, nâĂ©taient plus connus comme des Khazars », mais comme les populations yiddish » de tous ces pays. Et câest encore ainsi quâils se dĂ©signent aujourdâ cours de ses nombreuses guerres avec ses voisins europĂ©ens aprĂšs le XIIIe siĂšcle, la Russie a tout de mĂȘme dĂ» cĂ©der des territoires importants, qui faisaient originairement partie du royaume khazar. Câest ainsi que la Pologne, la Lituanie, la Galicie, la Hongrie, la Roumanie, et lâAutriche, acquirent de la Russie certains territoires qui faisaient originellement partie du royaume khazar. Et avec ces territoires, ces nations hĂ©ritĂšrent aussi de nombreux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s, descendants des Khazars, et qui Ă©taient demeurĂ©s sur le sol de leur ancien royaume. Ces frĂ©quents partages de frontiĂšres entre les diffĂ©rentes nations dâEurope orientale expliquent la prĂ©sence actuelle de Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s dans tous ces pays. Leur langage commun, leur culture commune, leur religion commune, et leurs caractĂ©ristiques raciales communes, classent ces Juifs » sans le moindre doute comme les descendants des Khazars, peuple qui commença Ă envahir lâEurope orientale au premier siĂšcle avant JĂ©sus-Christ, et qui se convertit au talmudisme » au VIIe siĂšcle de notre conversion du roi Bulan suivie de celle de la nation khazare est au Talmudisme ce que la conversion de lâEmpereur Constantin suivie de celle des nations occidentales est au christianisme. Avant la conversion de Constantin, le christianisme Ă©tait une religion relativement peu importante, pratiquĂ©e principalement dans les pays situĂ©s sur le rivage oriental de la MĂ©diterranĂ©e ; mais avec sa conversion, lâEmpereur Constantin entraĂźna avec lui toutes les populations paĂŻennes de lâEurope occidentale. Le talmudisme câest-Ă -dire, le judaĂŻsme, qui est le nom actuel du talmudisme connut le plus grand essor de toute son histoire par la conversion de lâimmense population khazare, au cours du VIIe siĂšcle. Sans la conversion des Khazars, il est probable que le talmudisme nâaurait pas survĂ©cu face au christianisme et Ă lâislam. Sans la conversion des Khazars, le judaĂŻsme nâaurait probablement pas existĂ©. Le talmudisme, câest-Ă -dire le code civil et religieux des pharisiens, aurait lâan 986, le prince de Russie, Vladimir III, se convertit Ă la foi chrĂ©tienne, pour Ă©pouser une princesse catholique slavonne dâun Ă©tat voisin. Et le prince Vladimir III, fit de sa nouvelle religion, la religion dâĂ©tat de toute la Russie, remplaçant ainsi le culte paĂŻen, pratiquĂ© en Russie depuis sa fondation qui remonte Ă lâan 820. Les nombreuses tensions qui en rĂ©sultĂšrent produisirent des situations que les historiens ont dĂ©crites par les mots massacres », pogromes », persĂ©cutions », discrimination »,La version remaniĂ©e du Kol NidreLa nouvelle version du Kol Nidre est mentionnĂ©e dans le Talmud comme la loi de rĂ©vocation par avance des serments ». La priĂšre du Kol Nidre Ă©tait donc considĂ©rĂ©e comme une loi. Toute personne qui chaque annĂ©e, Ă la veille du jour de lâexpiation des pĂ©chĂ©s, rĂ©citait cette loi de rĂ©vocation par avance des serments », Ă©tait censĂ©e obtenir de Dieu la dispense de remplir toutes obligations acquises par serment, pour toute lâannĂ©e Ă venir. Comme nous lâavons vu, lâincantation de la priĂšre du Kol Nidre Ă la veille du Jour de lâexpiation des pĂ©chĂ©s, dĂ©gageait les Juifs » de toutes les obligations prises par serment, par vĆu, ou par promesse. Au risque de me rĂ©pĂ©ter, jâinsiste sur le fait que les serments, les vĆux et les promesses faites par les Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s Ă©taient donc prononcĂ©es exactement comme les promesses que font les enfants en croisant les doigts, mais dans des situations infiniment plus version remaniĂ©e du Kol Nidre causa de sĂ©rieux problĂšmes aux Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s, lorsque sa traduction fut nĂ©anmoins dĂ©couverte par les chrĂ©tiens⊠Car le Kol Nidre ne resta pas un secret trĂšs longtemps, malgrĂ© la dĂ©claration du Talmud selon laquelle la loi de rĂ©vocation par avance ne fut pas rendue publique ». La version remaniĂ©e du Kol Nidre devint assez rapidement connue comme le vĆu des Juifs », et elle jeta un doute sĂ©rieux sur les serments, les vĆux ou les promesses donnĂ©es aux chrĂ©tiens par les JuifsEn 1844, une intelligente tentative visant Ă corriger cette situation fut entreprise par un groupe de rabbins allemands⊠Cette annĂ©e-lĂ , ils rassemblĂšrent une confĂ©rence internationale de rabbins Ă Braunschweig, en Allemagne. Ils tentĂšrent dâĂ©liminer complĂštement la priĂšre du Kol Nidre de la cĂ©rĂ©monie du jour de lâexpiation des pĂ©chĂ©s, et dâen abolir la version remaniĂ©e ainsi que la version initiale de toutes leurs cĂ©rĂ©monies religieuses. Ils pensaient que ce prologue profane Ă la cĂ©rĂ©monie du jour de lâexpiation des pĂ©chĂ©s, Ă©tait vide de toute spiritualitĂ© et nâappartenait pas au rituel des synagogues. Cependant, la grande majoritĂ© des rabbins assistant Ă la confĂ©rence de Braunschweig Ă©taient originaires dâEurope orientale⊠Ils reprĂ©sentaient les congrĂ©gations des Juifs » prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s parlant le yiddish, et dont les ancĂȘtres Ă©taient les Khazars. Ils insistĂšrent pour que la version remaniĂ©e du Kol Nidre soit strictement maintenue. Ils demandĂšrent quâelle soit maintenue dans la forme exacte dans laquelle Meir ben Samuel lâavait rĂ©digĂ©e six siĂšcles auparavant, juste aprĂšs la conquĂȘte russe. Aujourdâhui encore, elle est scrupuleusement rĂ©citĂ©e dans cette forme prĂ©cise, par tous les Juifs » du monde prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, sâentend⊠Mais mon cher Docteur Goldstein, les 150 millions de chrĂ©tiens des Ătats-Unis dâAmĂ©rique vont-ils eux aussi ressortir les rĂ©actions qui furent les leurs au Moyen Ăge, lorsquâils apprendront Ă nouveau le sens vĂ©ritable du Kol Nidre ?Les Juifs et les ChrĂ©tiens sont-ils des frĂšres ?Si les Juifs » utilisent le Talmud comme rĂšgle de leurs activitĂ©s politiques, Ă©conomiques et sociales, quel peut ĂȘtre le degrĂ© de sincĂ©ritĂ© de tous les serments, les vĆux ou les promesses quâils pourraient ĂȘtre amenĂ©s Ă faire ? Ce serait pour le coup un geste sans pareil de fraternitĂ© » et de communautĂ© de foi », si la ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs parvenait Ă expurger du Talmud la multitude des passages attaquant directement le Christ, les chrĂ©tiens ou le christianisme. Au prix dâun grand nombre de millions de dollars, cette ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs est en revanche parvenu Ă expurger du Nouveau Testament, les passages que les Juifs » considĂ©raient comme une offense Ă leur foi ».Et pendant quâelle y est, la ConfĂ©rence Nationale des ChrĂ©tiens et des Juifs pourrait jeter un coup dâĆil sur les millions de dollars investis aujourdâhui par les Juifs », pour sâassurer que le Talmud reste bien le seul axe des activitĂ©s politiques, Ă©conomiques, culturelles et sociales de tous leurs coreligionnaires dâaujourdâhui et de cher Docteur Goldstein, vous vous souvenez sans doute dâavoir lu un peu plus haut une citation dâun des spĂ©cialistes les plus autorisĂ©s sur le Talmud, et selon laquelle le Juif moderne est un produit du Talmud. » Seriez-vous surpris dâapprendre quâun bon nombre de chrĂ©tiens sont Ă©galement le produit du Talmud » ? Eh oui, les enseignements du Talmud sont acceptĂ©s par des chrĂ©tiens du plus haut Ă©chelon hiĂ©rarchique⊠Je nâaurais besoin que dâun seul exemple pour vous en persuader, celui du dernier PrĂ©sident des Ătats-Unis dâAmĂ©rique. En 1951, on a offert pour la seconde fois au PrĂ©sident Truman, lâensemble des 63 livres composant le Talmud. Ă cette occasion un journal rĂ©digea lâarticle suivant Monsieur Truman nous a remerciĂ©s pour les livres, et a dĂ©clarĂ© quâil Ă©tait trĂšs content de les avoir, il a mĂȘme ajoutĂ© le mot suivant âIl y a quatre ans on mâa offert les mĂȘmes, et jâai pu en lire bien davantage que ce que les gens pensentâ. Il nous a dit quâil lisait beaucoup, et que le livre quâil lisait le plus Ă©tait le Talmud qui contient, nous a-t-il dit âun bon paquet de raisonnements trĂšs sains, et une bonne philosophie de la vie !â ».Ainsi, notre dernier PrĂ©sident nous dit quâil tire bien des avantages de ce livre quâil lit le plus », et qui contient un bon paquet de raisonnements trĂšs sains », ainsi quâune bonne philosophie de la vie »⊠Et plus rĂ©cemment, alors quâil Ă©tait encore en fonction, les dĂ©clarations de notre dernier PrĂ©sident dĂ©notent chez lui une connaissance vĂ©ritable du Talmud ; toute personne qui connaĂźt le Talmud pourra le discerner trĂšs vite. Mais notre dernier PrĂ©sident Sait-il que JĂ©sus-Christ nâavait pas le mĂȘme sentiment que lui sur le Talmud ? Ce bon paquet de raisonnements trĂšs sains », et cette bonne philosophie de la vie », Ă©taient en permanence dĂ©noncĂ©s dâune maniĂšre des plus vives par JĂ©sus-Christ, et en des termes non Talmud dĂ©masquĂ©Le Talmud dĂ©masquĂ©, les secrets rabbiniques concernant les chrĂ©tiens est un ouvrage magistral Ă©crit par le PĂšre Justin Bonaventure Pranaitis, MaĂźtre de ThĂ©ologie et professeur dâhĂ©breu. Le PĂšre Pranaitis Ă©tait le plus grand connaisseur du Talmud chez les non-juifs. Sa complĂšte maĂźtrise de lâhĂ©breu lui permit de donner une analyse trĂšs compĂ©tente du Talmud et, dans toute lâhistoire humaine, peu dâhommes auraient eu lâĂ©rudition nĂ©cessaire pour une telle mot antisĂ©mite » est encore un mot quâon devrait retirer de la langue anglaise. Aujourdâhui, le mot antisĂ©mite » ne sert plus quâun seul objectif câest devenu le mot clef de la diffamation. Lorsque les Juifs » sentent quâun quidam va sâopposer Ă lâun de leurs objectifs quelconques, ils le prennent immĂ©diatement pour cible, et ils le discrĂ©ditent en lui collant systĂ©matiquement lâĂ©tiquette antisĂ©mite ! ». Et ils le font dans tous les mĂ©dias quâils possĂšdent ou quâils contrĂŽlent indirectement. Je parle ici aprĂšs une longue expĂ©rience personnelle, vous pouvez me croire. Lorsquâen 1946, jâai fait ma premiĂšre dĂ©claration publique sur les Ă©vĂ©nements de Palestine, mes anciens coreligionnaires ont Ă©tĂ© bien incapables de me rĂ©futer, ils ont donc dĂ©pensĂ© des millions de dollars pour me salir, en faisant soudain de moi un grossier antisĂ©mite » ; espĂ©rant par-lĂ me discrĂ©diter aux yeux du public qui manifestait pourtant un grand intĂ©rĂȘt Ă ce que je lui disais. Jusquâen 1946, jâĂ©tais un petit Saint » pour tous les Juifs » de ce pays prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels. Mais lorsque jâai manifestĂ© publiquement mon dĂ©saccord envers la politique sioniste en Palestine, je suis devenu dâun coup lâantisĂ©mite numĂ©ro 1 ».Il est honteux de voir comment le clergĂ© chrĂ©tien reprend Ă son compte lâusage Ă tout propos du terme antisĂ©mite ». Les prĂȘtres devraient chercher Ă savoir de quoi ils parlent. Ils savent pourtant bien que ce mot nâa pas le moindre sens dans lâusage quâon lui donne aujourdâhui. Ils savent que le terme correct pour dĂ©signer une personne qui sâopposerait au judaĂŻsme en tant que religion, nâest pas anti-sĂ©mite », mais bien judĂ©o-phobe ». Mais sâils ont prĂ©fĂ©rĂ© la racine -sĂ©mite », Ă la racine judĂ©o- », câest justement pour forger un terme de diffamation ; sachant pertinemment que dans lâesprit des chrĂ©tiens, le mot SĂ©mite » est Ă©troitement liĂ© Ă celui de JĂ©sus-Christ ». En tolĂ©rant lâusage de ce mot de diffamation, les chrĂ©tiens sont devenus des instruments dans lâentreprise de destruction de leur propre foi ; puisque ce mot permet de persĂ©cuter, puis de rĂ©duire au silence, tous les chrĂ©tiens qui sâopposent Ă la cher Docteur Goldstein, cela vous chagrine sans doute autant que moi de voir les valeurs morales sombrer de jour en jour, vers des points toujours plus profonds. Il faudrait ĂȘtre bien aveugle pour ne pas constater cette chute la dĂ©tĂ©rioration des valeurs morales est la cause de notre psychose actuelle qui se dĂ©finit ainsi Faire le plus dâargent possible ». Avoir le plus de fun possible ».Aujourdâhui chez nous, il semble quâil nây ait plus que ces deux seules choses qui cher Docteur Goldstein, combien connaissez-vous de personnes, dans votre entourage, qui incluent Ă leur tĂąche quotidienne quelques petits services, ou quelques petits sacrifices, pour la dĂ©fense de ces droits inestimables que nous tenons du PĂšre Ăternel ?En outre, il ne faut pas se leurrer, le sabotage des valeurs morales de notre pays est davantage une phase de leur conspiration quâun accident alĂ©atoire dans la marche de lâhumanitĂ© vers de meilleures conditions dâexistenceâŠAu cours des derniĂšres dĂ©cennies, les rĂȘnes de cette nation sont toujours tombĂ©es dans les mains des personnes les moins dignes de remplir cette responsabilitĂ©, et les plus engagĂ©es dans la conspiration. La situation actuelle est le rĂ©sultat de leurs efforts ininterrompus pour fabriquer des prostituĂ©s chrĂ©tiens de sexe masculin ».Des milliers de ces chrĂ©tiens-travestis » circulent incognito dans tous les axes de la sociĂ©tĂ© civile ; et pour un peu dâargent ou de pouvoir, se prĂȘtent dĂ©licieusement aux exigences dâune propagande plus grand crime de tous les crimes de toute lâhistoire le crime des crimes si vous voulez, lâiniquitĂ© qui dĂ©passe toute mesure sur le plan de la politique internationale, a vu le jour en Palestine, il y a quelques annĂ©es, presque par la seule consĂ©quence de lâintervention des Ătats-Unis, sous lâinstigation de lâOrganisation Sioniste Internationale, dont le quartier gĂ©nĂ©ral se trouve Ă New York. Cette intervention des Ătats-Unis du cĂŽtĂ© des agresseurs illustre mieux que tout autre exemple la puissance que peuvent avoir sur notre gouvernement ces chrĂ©tiens travestis », qui agissent impunĂ©ment pour le compte des conspirateurs sionistes⊠Cette intervention fut la page la plus sombre de toute notre 150 000 000 de chrĂ©tiens des Ătats-Unis ont Ă©tĂ© soumis Ă une trĂšs haute pression de la part du clergĂ©, pour quâils accordent leur soutien inconditionnel au programme sioniste du retour » de ces Juifs » dâEurope orientale dans leur patrie » de Palestine⊠Juifs » prĂ©tendus et autoproclamĂ©s, qui Ă©taient en rĂ©alitĂ© les descendants des Khazars. Le clergĂ© nous a sommĂ©s de considĂ©rer les Juifs » dâEurope orientale prĂ©tendus ou autoproclamĂ©s tels, comme Ă©tant le peuple Ă©lu » par Dieu, et que la Palestine Ă©tait leur Terre Promise ». Mais en vĂ©ritĂ© notre clergĂ© savait pertinemment ce quâil en Ă©tait. Mon cher Docteur Goldstein, vous pouvez ĂȘtre bien certain que câest leur cupiditĂ© et non leur stupiditĂ© qui les a poussĂ©s Ă nous cacher la un fait historique bien Ă©tabli que la participation active des Ătats-Unis Ă la conquĂȘte de la Palestine par les sionistes, fut la condition nĂ©cessaire de son succĂšs. Sans la participation active des Ătats-Unis sous lâinstigation des sionistes, il est certain que les sionistes nâauraient jamais entrepris la conquĂȘte de ce pays par la force des armes. Et la Palestine dâaujourdâhui serait un Ă©tat indĂ©pendant et souverain, que le processus de dĂ©colonisation aurait transformĂ© en une nation sincĂšrement vĂŽtre,Benjamin H. FreedmanLes Khazars dĂ©barquent dans lâhistoireLe mystĂ©rieux royaume khazar a influencĂ© notre monde moderne dâune maniĂšre dont nous nâavons pas toujours Khazars nâavaient longtemps intĂ©ressĂ© que des spĂ©cialistes de lâhistoire de lâAsie centrale Les innombrables chercheurs » qui pullulent aujourdâhui dans les universitĂ©s amĂ©ricaines ont trouvĂ©-lĂ une mine dâautant plus inĂ©puisable quâil sâagit dâune matiĂšre Ă controverses, souvent violentes, toujours passionnĂ©es pour les uns, lâensemble des Khazars a Ă©tĂ© converti au judaĂŻsme et reprĂ©sente la quasi-totalitĂ© des juifs dits Ashkenazes » contemporains, pour les autres, seule une toute petite partie de lâaristocratie de lâempire khazar a rejoint la nouvelle religion et les juifs de la rĂ©gion sont de purs descendants de leurs co-religionnaires judĂ©ens. Les positions mixtes ont Ă©galement dâinnombrables est-il que la question khazare » a opĂ©rĂ© un dĂ©barquement tonitruant dans lâhistoire contemporaine avec la polĂ©mique liĂ©e Ă la colonisation de la Palestine Ă partir de la fin du XIXe effet, Ă partir de cette pĂ©riode, qui correspond Ă lâapogĂ©e de tous les mouvements colonisateurs europĂ©ens, dâimmenses cohortes de juifs dits Ashkenazim », originaires des rĂ©gions autrefois occupĂ©es par les tribus de lâempire khazar tardivement converties au judaĂŻsme, ont dĂ©ferlĂ© sur une Palestine miraculeusement mĂ©tamorphosĂ©e en terre de leurs ancĂȘtres ». Ils en revendiquaient la propriĂ©tĂ© au nom de la connaissance quâils possĂ©daient par ouĂŻ-dire de lâexistence dâun acte notariĂ© dressĂ© entre un extra-terrestre et dâhypothĂ©tiques ancĂȘtres qui auraient Ă©tĂ© mĂ©chamment privĂ©s de leur hĂ©ritage par de cruels centurions les premiers ministres du nouvel Etat surgi en terre palestinienne en 1948 Ă©taient originaires dâEurope orientale et des rĂ©gions qui correspondent Ă lâex-empire khazar. Les dĂ©mographes de lâactuel Etat hĂ©breu nâont trouvĂ© quâune seule famille, les Zinati de Pekin, qui aurait rĂ©sidĂ© en Palestine sans aucune interruption depuis lâ des khazars1. David Ben Gourion nĂ© David GrĂŒn 16 octobre 1886-1er dĂ©cembre 1973 est nĂ© Ă Plonsk en Pologne dans une famille sioniste son pĂšre, professeur dâhĂ©breu, Ă©tait un membre des Amants de Sion. Il Ă©migre en Palestine britannique en MoshĂ© Sharett nĂ© MoshĂ© Shertok , 15 octobre 1894 â 7 juillet 1965 est nĂ© Ă Kherson, dans lâEmpire russe aujourdâhui en Ukraine. Il Ă©migra en Palestine britannique en Levi Eshkol 25 octobre 1895- 26 fĂ©vrier 1969 est nĂ© dans un village Ă proximitĂ© de la ville de Kiev , dans lâempire russe, aujourdâhui Ukraine. Il Ă©migre en Palestine ottomane en Ygal Allon nĂ© Ygal PaĂŻcovitch 10 octobre 1918- 29 fĂ©vrier 1980 est nĂ© Kfar Tabor, au pied du Mont Tavor dans lâest de la Basse GalilĂ©e dâune famille originaire de Roumanie qui Ă©migre en Palestine en Golda Meir Golda Meirson, nĂ©e Golda Mabovitz 3 mai 1898 -8 dĂ©cembre 1978 est nĂ©e Ă Kiev, au cĆur de lâempire russe, aujourdâhui capitale de lâUkraine. Sa famille Ă©migre aux Etats-Unis en 1903, le couple Meirson arrive en Palestine en Yitzhak Rabin Yitzhak Rubitzov, 1er mars 1922 â assassinĂ© Ă Tel Aviv le 4 novembre 1995 est nĂ© Ă JĂ©rusalem. Ses parents, Nehemiah et Rosa Rubitzov originaires dâUkraine Ă©migrĂšrent dâabord vers les Etats-Unis7. Menahem Volfovitz Begin Mieczyslaw Biegun , 16 aoĂ»t 1913 -9 mars 1992 . Il est nĂ© Ă Brest-Litovsk, alors ville polonaise Ă majoritĂ© juive, aujourdâhui BiĂ©lorussie. Il nâarrive en Palestine quâen Yitzhak Shamir Yitzhak Jazernicki 15 octobre 1915⊠, est nĂ© Ă Ruzhany, en Pologne, actuelle BiĂ©lorussie. Il Ă©migre en Palestine en Shimon Peres Szymon Perski Il est nĂ© le 2 aoĂ»t 1923 Ă Wisniew Pologne, actuelle BiĂ©lorussie. Il Ă©migre en Palestine en Benyamin Netanyahou nĂ© le 21 octobre 1949 Ă Tel Aviv Petit-fils dâun rabbin Ă©migrĂ© de Lituanie en Palestine en 192011. Ehud Barak Ehud Brog, nĂ© le 12 fĂ©vrier 1942 au kibboutz Mishmar Hasharon Fils dâIsrael Brog et dâEsther Godin, immigrĂ©s respectivement de Lituanie et de Ariel Sharon Ariel Scheinermann nĂ© le 26 fĂ©vrier 1928 Ă Kfar Malal en Palestine. Son pĂšre Shmouel Scheinerman est originaire de Brest-Litovsk alors en Pologne, actuellement BiĂ©lorussie. Sa mĂšre VĂ©ra est un mĂ©decin originaire de Mohilev en Ehud Olmert nĂ© le 30 septembre 1945 Ă Binyamina en Palestine. Son pĂšre MordechaĂŻ â nĂ© Ă Buguruslan en Russie, Ă©migre en Chine en 1919, Ă Harbin, et arrive en Palestine en sâĂ©tait installĂ© dans lâexil durant dix-sept siĂšcles et le Dieu local dâune Ă©charpe de terre du bassin oriental de la MĂ©diterranĂ©e Ă©tait devenu une divinitĂ© itinĂ©rante qui avait pĂ©rĂ©grinĂ© durant deux millĂ©naires dans le monde entier au grĂ© des dĂ©placements de ses ses fidĂšles avaient la bougeotte. Tout en le refusant et en le combattant de toutes ses forces, JahvĂ© avait collĂ© aux talons du Dieu JĂ©sus. MalgrĂ© lâinimitiĂ© rĂ©ciproque que les partisans des deux divinitĂ©s se manifestaient, ses fidĂšles sâĂ©taient immĂ©diatement installĂ©s dans les rĂ©gions progressivement converties au nouveau Dieu trinitaire. Câest ainsi quâĂ la fin du premier millĂ©naire, et alors que le Dieu JĂ©sus rĂ©gnait en maĂźtre sur toute lâEurope occidentale â JahvĂ© ne lâavait prĂ©cĂ©dĂ© quâen Espagne â ses fidĂšles sâĂ©taient attachĂ©s aux pas des chrĂ©tiens et on les trouvait en France, en Allemagne et jusquâen Europe centrale, notamment en BohĂȘme et en lĂ que sâĂ©tait produit lâĂ©vĂšnement extraordinaire qui permit au judaĂŻsme de gonfler brusquement sa population, et donc de survivre jusquâĂ nos jours en tant que groupe humain effet, loin de sâĂ©puiser au fur et Ă mesure quâil sâĂ©loignait de son camp de base judĂ©en et quâil expĂ©diait tous azimuts des petits groupes dâĂ©claireurs, JahvĂ© avait offert Ă ses fidĂšles Ă©berluĂ©s la surprise et le cadeau sans prix de dĂ©couvrir que dans les plaines orientales de lâEurope et jusquâaux confins de lâAsie vivait une immense population de co-religionnaires dont personne ni en Orient, ni en Occident nâavait entendu Khazar au moment de sa conversion Ă la religion du Dieu JahvĂ©. Carte rĂ©alisĂ©e par le cabinet architectural Richard Burd. Le premier mai 1999, lâensemble des cartes de Richard Burd sur le royaume Khazar a remportĂ© le prix annuel dĂ©cernĂ© par le Doyen au sein du DĂ©partement des Ătudes Slaves de lâuniversitĂ© de Californie Los AngelesCâest ainsi que les Khazars judaĂŻsĂ©s Ă©taient entrĂ©s dans lâhistoire. Ils entrĂšrent dans lâhistoire locale par la force des choses, puisquâils Ă©taient lĂ . Mais ils ne sont jamais entrĂ©s dans la narration officielle car leur existence mĂȘme contredit le mythe sur lequel se fondent les revendications des colons installĂ©s en Palestine. Câest pourquoi la narration mythologique qui tient lieu dâhistoire dans lâEtat nĂ© en 1947 continue de refuser officiellement leur existence et une filiation dont leurs descendants semblent avoir khazar VIIe-XIe siĂšcle, LâĂ©nigme dâun peuple cavalierLes Khazars une Ă©nigme historique de la taille dâun empire disparu qui aurait durĂ© du VIIe au XIe siĂšcle de notre Ăšre et qui sâĂ©tendait entre la mer Caspienne et la mer Noire, de la Volga Ă la chaĂźne du Caucase, au croisement des grandes routes commerciales et des zones dâinfluence des trois spiritualitĂ©s chrĂ©tienne, juive et musulmane. Comment retracer lâhistoire de ce peuple cavalier dâorigine turco-mongole ? Pourquoi les Khazars se sont-ils convertis massivement au judaĂŻsme ? Pourquoi leur empire sâest-il Ă©croulĂ© ? Pourquoi ont-ils Ă©tĂ© si longtemps oubliĂ©s ? Et pourquoi, dâArthur Koestler Ă Marek Halter, font-ils rĂȘver ? VoilĂ les questions auxquelles tente de rĂ©pondre cet ouvrage, mettant Ă contribution spĂ©cialistes et passionnĂ©s de la Russie. Comment le peuple juif fut inventĂ© de Shlomo SandQuand le peuple juif fut-il créé ? Est-ce il y a quatre mille ans, ou bien sous la plume dâhistoriens juifs du XIXe siĂšcle qui ont reconstituĂ© rĂ©trospectivement un peuple imaginĂ© afin de façonner une nation future ? Dans le sillage de la » contre-histoire » nĂ©e en IsraĂ«l dans les annĂ©es 1990, Shlomo Sand nous entraĂźne dans une plongĂ©e Ă travers lâhistoire » de longue durĂ©e » des juifs. Les habitants de la JudĂ©e furent-ils exilĂ©s aprĂšs la destruction du Second Temple, en lâan 70 de lâĂšre chrĂ©tienne, ou bien sâagit-il ici dâun mythe chrĂ©tien qui aurait infiltrĂ© la tradition juive ? Et, si les paysans des temps anciens nâont pas Ă©tĂ© exilĂ©s, que sont-ils devenus ? Lâauteur montre surtout comment, Ă partir du XIXe siĂšcle, le temps biblique a commencĂ© Ă ĂȘtre considĂ©rĂ© par les premiers sionistes comme le temps historique, celui de la naissance dâune nation. Ce dĂ©tour par le passĂ© conduit lâhistorien Ă un questionnement beaucoup plus contemporain Ă lâheure oĂč certains biologistes israĂ©liens cherchent encore Ă dĂ©montrer que les juifs forment un peuple dotĂ© dâun ADN spĂ©cifique, que cache aujourdâhui le concept d' » Etat juif , et pourquoi cette entitĂ© nâa-t-elle pas rĂ©ussi jusquâĂ maintenant Ă se constituer en une rĂ©publique appartenant Ă lâensemble de ses citoyens, quelle que soit leur religion ? En dĂ©nonçant cette dĂ©rogation profonde au principe sur lequel se fonde toute dĂ©mocratie moderne, Shlomo Sand dĂ©laisse le dĂ©bat historiographique pour proposer une critique de la politique identitaire de son pays. Construit sur une analyse dâune grande originalitĂ© et pleine dâaudace, cet ouvrage foisonnant aborde des questions qui touchent autant Ă lâorigine historique des juifs quâau statut civique des IsraĂ©liens. Paru au printemps 2008 en IsraĂ«l, il y est trĂšs rapidement devenu un best-seller et donne encore lieu Ă des dĂ©bats enregistrĂ©e en 2008. Shlomo Sand est historien israĂ©lien et professeur Ă lâUniversitĂ© de Tel Aviv Crimes de masse commis par les sionistes sur des juifs sĂ©faradesLes sionistes ont la rĂ©putation bien mĂ©ritĂ©e dâavoir Ă©tĂ© les pires antisĂ©mites de lâhistoire. NâĂ©tant pas eux-mĂȘmes des sĂ©mites, ils nâont jamais rĂ©ellement adhĂ©rĂ© au judaĂŻsme religieux. Lors de la crĂ©ation de lâĂ©tat dâIsraĂ«l en 1947, une force de rĂ©pression plana autour des Juifs sĂ©farades. On essaya de les endoctriner dĂšs leur arrivĂ©e en Palestine. Il fallait quâils comprennent que leur foi en Dieu Ă©tait dĂ©nuĂ©e de logique et de fondement, que la religion nâĂ©tait que le fruit de rĂ©gimes 1951, le directeur gĂ©nĂ©ral du ministĂšre israĂ©lien de la SantĂ©, le Dr. Chaim Sheba, prenait lâavion pour lâAmĂ©rique, dâoĂč il a ramenĂ© sept appareils de radiographie Ă rayons X, que lâarmĂ©e amĂ©ricaine lui avait cĂ©dĂ©s. Ces appareils de radiographie furent utilisĂ©s pour une expĂ©rience nuclĂ©aire massive, une gĂ©nĂ©ration complĂšte de jeunes SĂ©farades furent utilisĂ©s en guise de cobayes. Chaque enfant sĂ©farade allait recevoir 35 000 fois la dose maximale de rayons X, dans la tĂȘte. A cette fin, le gouvernement amĂ©ricain versa annuellement au gouvernement israĂ©lien 300 millions de livres israĂ©liennes. A lâĂ©poque, le budget global du ministĂšre israĂ©lien de la SantĂ© ne sâĂ©levait, quant Ă lui, quâĂ 60 millions de livres, soit 5 fois moins !Les fonds versĂ©s par les AmĂ©ricains correspondraient, de nos jours, Ă deux milliards de de circonvenir les parents des victimes, les enfants furent emmenĂ©s en voyage scolaire », et on dira plus tard aux parents que les rayons X Ă©taient un traitement contre une Ă©pidĂ©mie de teigne. 6 000 des enfants cobayes dĂ©cĂ©dĂšrent peu aprĂšs leur irradiation, beaucoup des survivants dĂ©veloppant des cancers qui emportĂšrent des milliers dâentre eux, au fil des annĂ©es, et qui continuent Ă tuer certains dâentre eux, encore actuellement.
Abraham avait 75 ans lorsqu'il quitta Haran. C'Ă©tait La Promesse, et le dĂ©but de 430 ans avant l'Exode. 25 ans plus tard, Abraham a 100 ans et Isaac est nĂ©. Nous sommes maintenant Ă 25 ans de The Promise 5 ans plus tard, Isaac est sevrĂ©. IsmaĂ«l se moque d'Isaac, IsmaĂ«l et Agar sont exilĂ©s. C'est le dĂ©but des 400 annĂ©es passĂ©es Ă ĂȘtre maltraitĂ©/affligĂ© » puis plus tard rĂ©duit en esclavage ». Nous sommes maintenant Ă 30 ans de La Promesse 55 ans plus tard, Isaac a 60 ans Ă la naissance de Jacob. Maintenant, nous sommes Ă 85 ans de La Promesse 130 ans plus tard, Jacob a 130 ans et ils entrent en Egypte. Nous sommes maintenant Ă 215 ans de La Promesse et Ă 215 ans de l'Exode En ce qui concerne les 215 annĂ©es en Ăgypte, nous savons que Kehath figurait parmi ceux qui entraient en Ăgypte GenĂšse 46 8,11, et son fils Amram figurait parmi ceux qui quittaient l'Ăgypte Nombres 3 14,19. Kohath a vĂ©cu jusqu'Ă 133 ans son fils Amram a vĂ©cu jusqu'Ă 137 ans Nous savons donc maintenant que les IsraĂ©lites ne pourraient pas ĂȘtre en Ăgypte plus longtemps que leurs Ăąges combinĂ©s de 270 ans. Ils Ă©taient en Egypte 215 ans. La prophĂ©tie de la quatriĂšme gĂ©nĂ©ration fait rĂ©fĂ©rence Ă LĂ©vi, Kohath, Amram, MoĂŻse.
Les premiĂšres traces archĂ©ologiques des HĂ©breux remontent Ă la fin du second millĂ©naire avant Deux royaumes hĂ©breux apparaissent Ă partir du IXe siĂšcle avant le royaume d'IsraĂ«l et le royaume de la destruction du royaume d'IsraĂ«l par les Assyriens, le roi de Juda, Josias, entreprend une rĂ©forme religieuse. Il met par Ă©crit les textes sacrĂ©s des HĂ©breux et instaure le culte d'un dieu HĂ©breux pratiquent alors la premiĂšre religion monothĂ©iste. La Torah est le livre qui rassemble l'ensemble de leurs Ă l'expulsion des juifs par les Romains, des communautĂ©s juives s'installent autour du bassin mĂ©diterranĂ©en et constituent la diaspora. Ces communautĂ©s continuent de pratiquer le judaĂŻsme. IL'histoire des royaumes hĂ©breux ADeux royaumes hĂ©breux menacĂ©s Les premiĂšres traces archĂ©ologiques des HĂ©breux remontent Ă la fin du second millĂ©naire avant et se situent dans la vallĂ©e du Jourdain. Deux royaumes sont peuplĂ©s par les HĂ©breux le royaume d'IsraĂ«l et le royaume de deux royaumes sont dominĂ©s par le puissant Empire assyrien qui attaque et dĂ©truit le royaume d'IsraĂ«l en 722 avant pour le punir de son alliance avec les Ăgyptiens, ennemis des Assyriens. Il ne reste alors que le royaume hĂ©breux de Juda. BLa rĂ©forme religieuse de Josias Au VIIe siĂšcle avant les Assyriens sont affaiblis par les attaques des Babyloniens. Le roi de Juda, Josias, profite de cette situation et cherche Ă bĂątir un grand royaume hĂ©breu unifiĂ©. Pour mobiliser son peuple autour de son projet d'un grand Ătat hĂ©breu, il lance une rĂ©forme religieuse Il commence la rĂ©novation de l'ancien temple que Salomon aurait construit au Xe siĂšcle avant Il prĂ©tend retrouver un texte sacrĂ© dans les murs du temple. Ce texte raconte l'histoire d'une alliance entre les HĂ©breux et un dieu unique YahvĂ©. Josias interdit le polythĂ©isme. Le royaume d'IsraĂ«l n'aurait pas respectĂ© les rĂšgles Ă©dictĂ©es par Dieu et aurait donc Ă©tĂ© dĂ©truit par les Assyriens. Les rois de Juda doivent reconstruire un grand Ătat hĂ©breu dans le respect des rĂšgles de Dieu. Les historiens considĂšrent cependant que ce texte a Ă©tĂ© Ă©crit par les scribes de Josias. Il s'agit en rĂ©alitĂ© d'anciennes lĂ©gendes, des poĂšmes et des rĂ©cits historiques jusqu'alors transmis oralement. MonothĂ©isme Le monothĂ©isme est une religion qui croit en l'existence d'un seul HĂ©breux, en abandonnant le polythĂ©isme et en ne vĂ©nĂ©rant que YahvĂ©, sont les pratiquants de la premiĂšre religion monothĂ©iste. CLe royaume de Juda dominĂ© Les Babyloniens succĂšdent aux Assyriens et dominent le royaume de Juda Le royaume de Juda dĂ©cide de faire alliance avec les Ăgyptiens contre les Babyloniens. Les Babyloniens, derriĂšre leur roi Nabuchodonosor, attaquent le royaume de Juda et dĂ©truisent JĂ©rusalem en 587 avant De nombreux HĂ©breux sont envoyĂ©s en exil Ă Babylone. Durant leur exil Ă Babylone, les HĂ©breux, qui s'appellent dĂ©sormais eux-mĂȘmes les JudĂ©ens, ne veulent pas oublier leurs traditions et continuent la rĂ©daction de la Bible. Ils intĂšgrent dans la Bible des lĂ©gendes mĂ©sopotamiennes comme celle du DĂ©luge, dĂ©jĂ prĂ©sente dans l'ĂpopĂ©e de Gilgamesh. Les Perses s'emparent des territoires dominĂ©s par les Babyloniens et libĂšrent les HĂ©breux retenus Ă Babylone Ă leur retour, les HĂ©breux restaurent le royaume de Juda et reconstruisent le Temple de JĂ©rusalem. Ils complĂštent la Bible avec les textes rĂ©digĂ©s durant l'exil. Les royaumes hĂ©breux du VIIIe siĂšcle au VIe siĂšcle avant Le peuple des HĂ©breux reste constamment dominĂ© par des puissances Ă©trangĂšres, les Perses puis les Romains. Ceux qui continuent Ă pratiquer la religion des HĂ©breux, le judaĂŻsme, sont les Juifs. IILes fondements du judaĂŻsme AL'Alliance entre Dieu et les HĂ©breux La Bible juive ou Torah raconte l'histoire des HĂ©breux selon la tradition religieuse Les HĂ©breux constituent le "peuple Ă©lu" par Dieu. Le prophĂšte Abraham conclut une Alliance avec le dieu unique YahvĂ©. En Ă©change de leur obĂ©issance aux rĂšgles de YahvĂ©, les HĂ©breux reçoivent la Terre promise, c'est-Ă -dire IsraĂ«l. Ă cause de leur dĂ©sobĂ©issance aux rĂšgles de YahvĂ©, les HĂ©breux perdent la Terre promise et se rĂ©fugient en Ăgypte oĂč ils deviennent les esclaves du pharaon. Sous la conduite de MoĂŻse, ils s'Ă©chappent d'Ăgypte et errent dans le dĂ©sert pendant quarante ans. MoĂŻse reçoit les Tables de la Loi oĂč sont gravĂ©s les dix commandements qui fixent les rĂšgles que les HĂ©breux doivent respecter. Les Tables sont transportĂ©es dans l'Arche d'Alliance qui aurait ensuite Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e par le roi Salomon dans le Temple de JĂ©rusalem. La Bible prĂ©dit la venue d'un messie qui devra restaurer le royaume d'IsraĂ«l. Alliance Une Alliance est accomplie entre Dieu et les descendants d'un prophĂšte. Elle est conclue Ă l'initiative de Dieu et engage les hommes Ă respecter des pratiques la Bible, une Alliance est conclue entre Dieu et les HĂ©breux. Dieu promet aux HĂ©breux de s'installer sur la Terre promise. En Ă©change, les HĂ©breux doivent respecter les lois de Dieu. BLes rĂšgles du judaĂŻsme La Torah fixe les rĂšgles que les Juifs doivent respecter pour honorer l'Alliance conclue avec YahvĂ© Des interdits alimentaires doivent ĂȘtre respectĂ©s comme la non-consommation de porc ou de fruits de mer. Les Juifs ne doivent pas travailler le jour du Shabbat. Les garçons doivent ĂȘtre circoncis. Les Juifs n'ont pas le droit de reprĂ©senter YahvĂ© ni d'utiliser son nom en vain. Ils doivent cĂ©lĂ©brer des fĂȘtes religieuses comme la PĂąque qui commĂ©more la sortie d'Ăgypte. Ils doivent prier Dieu chaque jour. IIIL'expulsion des juifs et la diaspora AL'expulsion des juifs Les HĂ©breux sont expulsĂ©s de la province romaine de Palestine Des rĂ©voltes menĂ©es par les HĂ©breux Ă©clatent en 70 aprĂšs contre la domination romaine. L'empereur romain Titus ordonne une violente riposte contre les HĂ©breux et dĂ©truit JĂ©rusalem ainsi que son Temple. En 135 aprĂšs les Romains expulsent tous les Juifs de Palestine. Les HĂ©breux perdent le lieu central de leur histoire et de leur religion. L'arc de Titus Ă Rome cĂ©lĂ©brant la victoire des Romains sur les HĂ©breux Steerpike via Wikimedia Commons BLa diaspora juive Diaspora Diaspora est Ă l'origine un mot grec qui signifie la dispersion d'un peuple Ă travers le HĂ©breux, sous la domination des puissances Ă©trangĂšres et aprĂšs l'expulsion ordonnĂ©e par les Romains, quittent la Palestine et se dispersent en Europe, en Asie Mineure et en Afrique du Nord. Ces communautĂ©s constituent la diaspora juive. Des communautĂ©s juives existent en dehors de Juda et d'IsraĂ«l avant l'expulsion des HĂ©breux par les Romains Ă la fin de l'exil Ă Babylone, certains juifs restent Ă Babylone. Les descendants de ces exilĂ©s constituent la premiĂšre communautĂ© juive en dehors du royaume de Juda. Avec les diverses occupations du royaume de Juda, de nombreux juifs dĂ©cident de s'installer en GrĂšce, en Ăgypte et dans d'autres provinces romaines. Suite Ă la rĂ©pression violente des Romains et Ă l'expulsion de tous les Juifs de Palestine, de nombreuses communautĂ©s juives se forment en Afrique du Nord, en Asie Mineure et en Europe. Cette dispersion du peuple juif s'appelle la diaspora. La diaspora juive au IIIe siĂšcle aprĂšs CLe judaĂŻsme de la diaspora MalgrĂ© leur expulsion, les Juifs continuent de pratiquer leur religion Ils se rĂ©unissent dans des synagogues dans lesquelles ils prient, lisent la Torah et rĂšglent les problĂšmes de leur communautĂ©. Les rabbins sont les chefs religieux de ces communautĂ©s. Les rabbins commentent et prĂ©cisent les rĂšgles que doivent suivre les Juifs. Ces commentaires sont regroupĂ©s dans un texte le Talmud. La lecture de la Torah L ehava tiberya via
ï»żLa civilisation hĂ©braĂŻque et le judaĂŻsme RĂ©digĂ© le 19 dĂ©cembre 2007 2 minutes de lecture I _ La Bible raconte l'histoire des HĂ©breux Les HĂ©breux sont un peuple de l'AntiquitĂ© qui menaient une vie semi-nomade dans le Croissant Fertile. La Bible hĂ©braĂŻque est constituĂ©e de trois grandes parties la Torah, les ProphĂštes et les Ecrits. La Bible est le livre sacrĂ© des HĂ©breux, il contient leur histoire. C'est un recueil qui regroupe plusieurs livres d'abords transmis oralement puis Ă©crits entre le XĂšme et le IIĂšme siĂšcle Le temps de la Bible correspond au 2Ăšme et 1er millĂ©naires Le premier livre de la Bible est la GenĂšse. Elle fait le rĂ©cit de la crĂ©ation du monde et de l'homme par YahvĂ© dieu puis il retrace le parcourt des HĂ©breux dans le Croissant Fertile. Juifs nom donnĂ© aux HĂ©breux ou Ă leur descendants aprĂšs l'occupation de leur pays. Diaspora les communautĂ©s juives installĂ©es en dehors de Canaan. Les HĂ©breux fondent le Royaume d'IsraĂ«l et choisissent David comme roi qui fait de JĂ©rusalem la capital. AprĂšs la mort de Salomon le royaume est divisĂ© puis envahi. Les HĂ©breux sont alors appelĂ© les Juifs. Les meilleurs professeurs d'Histoire disponibles5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !5 27 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !4,9 13 avis 1er cours offert !4,9 21 avis 1er cours offert !4,9 26 avis 1er cours offert !4,9 15 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !5 9 avis 1er cours offert !C'est partiII _ La religion des HĂ©breux Les HĂ©breux sont le premier peuple monothĂ©istes de l'histoire. Ils honorent YahvĂ©. Ils croient que YahvĂ© a conclu avec eux une alliance il leur a accordĂ© sa protection et le terre promise en Ă©change de leur fidĂ©litĂ©. Pour eux YahvĂ© a dĂ©livrer Ă MoĂŻse les commandements graver sur la table de la Loi. MonothĂ©iste la croyance en un seul dieu. Le seul lieu de culte de HĂ©breux est le Temple de JĂ©rusalem. les cĂ©rĂ©monies et les grandes fĂȘtes religieuses rappelant les grands moments du rĂ©cit biblique ci dĂ©roule. Mais depuis le premier siĂšcle, les HĂ©breux n'ont plus de temple. Les Juifs se rĂ©unissent dans des synagogues. Synagogue une maison oĂč s'assemblent les Juifs pour prier ou commenter la Bible. La Bible, livre sacrĂ© des HĂ©breux, raconte l'alliance entre leur peuple et YahvĂ© par l'intermĂ©diaire d'Abraham et de MoĂŻse. La Bible fonde la premiĂšre religions monothĂ©istes de l'histoire. Les HĂ©breux croient en un Dieu unique qui leur a donnĂ© une terre et des rĂšgles de vie Ă travers les dix commandements. La plateforme qui connecte profs particuliers et Ă©lĂšves Vous avez aimĂ© cet article ? Notez-le ! Olivier Professeur en lycĂ©e et classe prĂ©pa, je vous livre ici quelques conseils utiles Ă travers mes cours !
Voici les mois de l'annĂ©e juive, calĂ©s sur le cycle lunaire. Ils Ă©taient initialiement repĂ©rĂ©s par leur numĂ©ro uniquement. C'est vers l'epoque de l'exil babylonien que des noms leur ont Ă©tĂ© attribuĂ©s. Nom HĂ©breu Jours Nissan Ś ŚŚĄŚ 30 Iyar ŚŚŚŚš 29 Sivan ŚĄŚŚŚ 30 Tamouz ŚȘŚŚŚ 29 Av ŚŚ 30 Eloul ŚŚŚŚ 29 Tishri ŚȘŚ©ŚšŚ 30 Heshvan ŚŚ©ŚŚ variable 29/30 Kislev ŚŚĄŚŚ variable 29/30 Tevet ŚŚŚȘ 29 Shvat Ś©ŚŚ 30 Adar annĂ©e embolismique seulement ŚŚŚš 30 Adar 2, ou vĂ©-adar l'annĂ©e simple, ce mois est appelĂ© Adar ŚŚŚŚš 29 L'annĂ©e simple, dans ses 12 mois, ne comprend qu'un Adar. Il s'agit de celui de 29 jours. Dans l'annĂ©e embolismique, le 13Ăšme mois est insĂ©rĂ© juste aprĂšs Shvat. Il est appelĂ© Adar Ă©galement ; pour le distinguer de l'autre, le suivant est qualifiĂ© de Adar 2, ou vĂ©-Adar. Les mois de Heshvan et Kislev sont de longueur variable. Ils peuvent ĂȘtre de 29 ou 30 jours, selon les rĂšgles de report. Le dĂ©but de chaque mois est une solennitĂ©, le Rosh Hhodesh. A quoi correspond le mois de Ziv, mentionnĂ© dans I-Rois, VI1 [62] ? Il ne s'agit pas d'un mois juif, au sens strict. Dans Rosh Hashana 11a, une discussion oppose Rabbi EliĂ©zer et Rabbi Yehoshoua au sujet du mois au cours duquel furent nĂ©s les Avot Patriarches Abraham et Yaaqov, ce qui eut pour effet d'apporter une lumiĂšre nouvelle sur le monde en hĂ©breu Zohar, Ziv en aramĂ©en. Selon Rabbi Yehoshoua, ils naquirent au mois de Nissan ; il considĂšre donc que le mois suivant, Iyar, deuxiĂšme mois de l'annĂ©e Ă compter de la Sortie d'Egypte, est celui du Ziv, l'Ăclat, du fait qu'il fut le premier mois de cette nouvelle Ăšre de LumiĂšre suite Ă l'arrivĂ©e au monde des Avot. Dans son commentaire sur cette Guemara, Rashi explique qu'il Ă©tait commun, Ă l'Ă©poque des Rois, de se rĂ©fĂ©rer Ă©galement au cycle solaire et Ă ses quatre saisons. Le premier mois de la saison du printemps Ă©tait appelĂ© Ziv, en raison de la luminositĂ©, or l'annĂ©e oĂč se dĂ©roulĂšrent les Ă©vĂ©nements de ce verset, l'Ă©quinoxe de printemps eut lieu au cours du mois de Iyar. Le verset donne donc une double situation temporelle, dans le cycle solaire ainsi que dans le calendrier juif.
carte les hébreux au temps des premiÚres invasions